Les Américains ont récemment adressé une pétition à leur président pour réclamer que le gouvernement américain révèle ce qu’il sait sur les extraterrestres.
La réponse vient d’être diffusée, par le biais de Phil Larson, le chef du bureau science et technologie de la Maison Blanche : « le gouvernement américain n'a aucune preuve de l'existence d'une forme de vie en dehors de notre planète ni sur le fait qu'une présence extraterrestre ait jamais établi un contact avec un membre de l'espèce humaine. Il n'y a également aucune information crédible suggérant que de telles preuves soient cachées au public".
Autrement dit, pas d’alien caché dans une base militaire, pas de technologie venue d’ailleurs, pas de complot extraterrestre…
Cela étant, Phil Larson rappelle que des organismes scientifiques étudient toujours le sujet, à l’instar du fameux SERI ou du Mars Science Lab. Selon lui, « de nombreux scientifiques et mathématiciens se sont penchés sur la question (...) et concluent que les chances sont plutôt élevées que parmi les trillions et les trillions d'étoiles dans l'univers, il y a une planète autre que la la nôtre, qui accueille la vie ».
Ce n’est donc peut-être tout de suite qu’on nous annoncera l’existence d’autres créatures venues d’une lointaine planète…
Côté méthode pour détecter d’autres formes de vie intelligente, il serait possible d’étudier les variations de luminosité sur les exoplanètes : les lumières des villes « alien » pourraient permettre de repérer des civilisations extraterrestres. C’est ce que suggère cet article du magazine Wired.
Mais cette hypothèse repose sur le postulat que lesdites civilisations s’éclairent à la lumière artificielle et que l’on parvienne à distinguer les lumières produites par des extraterrestres de celles émises par les étoiles.
Les scientifiques estiment qu’il y a très peu de chance d’apercevoir des villes extraterrestres dans notre système solaire, et avec nos instruments actuels, mais ils cherchent plutôt une méthode pour le vérifier ailleurs.