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découverte

  • Une nouvelle grenouille découverte en plein New York

    Grenouille.jpgEn général, on découvre de nouvelles espèces dans de lointaines contrées comme la Nouvelle-Guinée, la jungle de Bornéo ou l'Amazonie. Mais cette fois, ça s'est déroulé dans la ville de New York !

    La NSF (National Science Foundation), l'agence fédérale de recherche américaine, vient d'annoncer la découverte d'une espèce d'amphibien jamais identifié auparavant : cette petite grenouille, distinguée grâce à son ADN et son chant, émet des croassements particuliers qui lui sont propres.

    Les scientifiques sont encore stupéfaits qu'un animal inconnu d'eux vive tranquillement à proximité. Cette nouvelle grenouille léopard aurait pris ses aises dans la zone du stade des Yankees dans le Bronx ainsi que sur l'île de Staten Island. 

  • Et s'il existait un monde parallèle au nôtre ?

    C'est ce que suggèrerait une étude publiée par des chercheurs italiens dans la revue "European Physical Journal" et rapportée par le site maxisciences.com.
    Tout part de travaux expérimentaux menés en France par l'équipe du Dr Anatoly Serebrov qui s'est aperçue que, dans certaines circonstances, des neutrons libres soumis à un champ magnétique pouvaient disparaître !

    A la question : mais où ont-ils bien pu filer ?, des physiciens de l'université d'Aquila (Italie), les Dr Zurab Berezhiani et le Dr Fabrizio Nesti viennent d'apporter une réponse étonnante : dans un monde parallèle (invisible pour nous) composé de particules-miroirs...

    Selon ces scientifiques, chaque neutron aurait la capacité de transiter vers son "jumeau-miroir" invisible, et inversement, d'osciller d'un monde à l'autre. D'une durée de quelques secondes à peine, cette oscillation de la particule entre un état de neutron et un état de "neutron-miroir" ne serait pas incompatible avec les limites actuelles de la physique.

    La probabilité d'un tel événement de transition a été prévue sur le plan théorique. Elle serait liée à la présence de champs magnétiques et pourrait permettre d'expliquer pourquoi on ne trouve pas la fameuse "matière noire" censée constituer une large part de l'Univers.

  • Le plus petit caméléon connu est malgache

    Cameleon.jpgLa petite bestiole n'est guère plus grosse que le bout d'une allumette. On l'a découverte récemment sur l'îlot de Nosy Hara, au large de Madagascar. 

    C'est en explorant ce territoire perdu qu'une équipe de chercheurs est tombée sur de petits reptiles jamais décrits jusqu'ici. Il est plus facile de les repérer la nuit lorsqu'ils dorment car ils ne bougent pas.

    Ce spécimen de caméléon, baptisé B. micra, est long de 30 millimètres de long, mais le plus petit vertébré connu reste Paedophryne amauensis, une grenouille de 7,7 millimètres de long. Est-il besoin de préciser que ces espèces sont extrêmement menacées ?

  • Une crevette géante découverte en Nouvelle-Zélande

    etrange,nature,insolite,animaux,crevette,océan,mer,découverteDes chercheurs ont trouvé une crevette géante de 28 centimètres en Nouvelle-Zélande.

    D'ordinaire, une crevette mesure quelques centimètres à peine. Celle-ci, repérée par une équipe des universités d'Aberdeen et de Wellington, dans la fosse océanique de Kermadec, est de bien plus grande taille.

    Et les chercheurs auraient même filmé une crevette de 34 centimètres avant qu'elle ne parvienne à échapper à leurs filets ! Autant dire qu'ont peut se demander s'il n'y aurait pas des crustacés mutants dans les eaux néo-zélandaises !

  • Le plus petit vertébré connu : une grenouille de seulement 7,7 mm

    etrange,nature,insolite,animaux,découverte,grenouilleDes biologistes américains ont découvert en Nouvelle-Guinée le plus petit vertébré connu à ce jour sur Terre : une toute petite grenouille de 7,7 millimètres.  

    Baptisée Paedophryne amauensis, issue d'une espèce inconnue jusqu'ici, elle bat le record d'un petit poisson d'Indonésie qui mesure un peu plus de 8 millimètres.

    La petite grenouille a été découverte lors d'une expédition de trois mois, sur une île tropicale réputée pour sa biodiversité, ses espèces méconnues et atypiques. On imagine que ce ne fut pas facile de repérer un animal de taille aussi réduite !

    Chris Austin, l'un des scientifiques à l'origine de cette découverte, explique : "Nous pensons que ces créatures se sont pas une bizarrerie biologique mais qu'elles appartiennent à une famille écologique jusqu'alors inconnue car elles occupent un créneau d'habitat que nul autre vertébré n'habite".

    A l'opposé, le vertébré le plus grand qu'on connaisse est la baleine bleue (environ 25 mètres).

    Source : La Dépêche 

  • Un cèpe géant de 2,6 kg !

    Albert est un veinard en matière de champignons. Tout récemment, cet habitant de Saint-Céré a découvert un extraordinaire spécimen de cèpe de Bordeaux (famille des bolets) dont le chapeau faisait 33 cm de diamètre pour un poids de 2,6 kg.

    D'ordinaire, ce type de champignon que l'on trouve dans les forêts de chênes et de châtaigniers est de taille plus réduite .Albert a affirmé que dans le lieu secret où il l'a déniché, il y avait d'autres champignons du même gabarit, ce qui est très rare en cette fin de saison des champignons.

    Lire l'article de la Dépêche avec la photo du champignon

  • Neutrinos ultra-véloces : retour sur l'affaire de l'année

    Fin septembre 2011, une équipe internationale de scientifiques annonçait avoir observé des neutrinos se déplaçant à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Une révolution dans un monde encore soumis aux lois d'Einstein...

    Sur le site du Monde, un physicien, Jacques Marteau, fait le point sur cette découverte.

    Voir la vidéo de l'interview

  • Des particules plus rapides que la lumière ?

    étrange nature,insolite,science,découverte,lumière,neutrino,einstein,voyage,temps,dimensionSi l'on en croit la théorie de la relativité d'Einstein, rien ne peut dépasser la vitesse de la lumière qui, je le rappelle, est d'environ 300 000 km/s.  

    Or, une équipe internationale de scientifiques vient d'annoncer avoir constaté que certaines particules subatomiques se déplaçaient plus vite que la lumière !

    Le porte-parole de l'équipe qui a fait cette stupéfiante découverte a déclaré que les mesures effectuées sur trois ans avaient montré que des neutrinos (des particules élémentaires présentes dans tout le cosmos) émis des laboratoires du CERN, près de Genève, vers le laboratoire souterrain du Gran Sasso, en Italie, étaient arrivés 60 nanosecondes plus vite que la lumière.

    "Nous avons vérifié et revérifié, pensé à tout ce qui pourrait avoir influé sur nos relevés, mais nous n'avons rien trouvé", a-t-il expliqué, "Nous voulons maintenant que des collègues les vérifient de façon indépendante". 

    La lumière aurait parcouru cette distance en 2,4 millièmes de seconde, mais les neutrinos ont été de 60 nanosecondes (ou 60 milliardièmes de seconde) plus rapides que ne l'auraient été des rayons lumineux. Cela semble une différence infime mais sur le plan théorique, c'est incroyablement important. La découverte est tellement stupéfiante que, pour le moment, tout un chacun doit rester très prudent, estime le porte-parole.

    Si elle était confirmée (des vérifications sont en cours), non seulement cette découverte invaliderait la théorie du célèbre savant inventeur de la formule E = mc2, mais elle aurait une portée scientifique majeure.  

    Parmi les hypothèses éventuelles, l'idée que si les neutrinos ont été plus vite que la lumière, c'est qu'ils ont pris un raccourci... et ce raccourci pourrait très bien être une autre dimension !

    Il ne faut pas oublier non plus qu'une grande partie des œuvres de science-fiction sont fondées sur l'idée que, si l'on peut aller plus vite que la lumière, les voyages dans le temps deviennent, en théorie, possibles...

    Source : Reuters

  • Deux fois plus de monoxyde de carbone sur Pluton

    Des astronomes britanniques ont découvert de grandes quantités de monoxyde de carbone dans l'atmosphère de Pluton. Au-delà de la mise en évidence de ce gaz hautement toxique, on s'est également aperçu que sa concentration avait doublé depuis 2000.

    Selon les scientifiques, ce phénomène pourrait être due aux saisons extrêmes qui règnent sur Pluton. L'atmosphère pourrait répondre de manière très forte au cycle solaire. Si celle-ci reste pour l'essentiel composée d'azote comme la Terre, l'ajout du monoxyde de carbone en grandes quantités, le froid extrême et la longueur du voyage pour atteindre l'astre interdisent d'envisager toute mission d'exploration dans un futur proche.

  • La vitesse de la lumière varie sous une influence électromagnétique

    Des chercheurs du CNRS viennent de vérifier la théorie selon laquelle la vitesse de la lumière varie en fonction de sa direction sous l'effet d'un champ électromagnétique.

     

    Dans le vide, la lumière se propage quelque soit sa direction à la vitesse constante de 299 792, 458 km/s. Mais sous l'effet d'un champ électromagnétique, cette vitesse varie selon la direction de la lumière.

     

    Le CNRS a constaté cette très faible variation dans un gaz, l'azote. Les chercheurs ont mesuré une différence de vitesse d'environ un milliardième de mètre par seconde, prouvant que dans un gaz où règne un champ électromagnétique, la lumière ne se propage pas à la même vitesse selon qu'elle aille dans une direction ou dans un sens inverse.

     

    De nouvelles expérimentations devraient avoir lieu pour mesurer l'anisotropie (la propriété d'être dépendant de la direction) afin de trouver des applications en optique.

     

    Source : Maxisciences

  • Des insectes avec trois paires d'ailes !

    Jusqu'ici, on a toujours pensé que les insectes portaient au plus deux paires d'ailes. Et c'est un dogme qui s'effondre avec la découverte d'insectes dotés de trois paires d'ailes. Pour ne rien arranger, ce sont des scientifiques français qui ont fait cette découverte mirobolante.

    Tous les détails sur cet événement historique (si, si)

  • Un nouveau minéral : la wassonite

    Ce n'est pas tous les jours qu'on découvre un nouveau minéral. Or, la NASA vient juste de dévoiler la découverte d'un minéral, baptisé wassonite, qui a été trouvé sur une météorité trouvée en Antarctique en 1969.

    Malgré la taille infime de l'échantillon identifié, c'est une découverte de taille. Car le minéral, extrait d'une météorite qui aurait près de 4,5 milliards d'années et qui résulterait d'un astéroïde en orbite entre Mars et Jupiter, est totalement inconnu sur Terre.

    Nommé en hommage à John T. Wasson, un spécialiste des météorites à l'Université de Californie, la wassonite est composée uniquement de deux éléments, le soufre et le titane mais il comporte une structure cristalline unique en son genre et complètement inédite à ce jour. De quoi en apprendre davantage sur les secrets de l'univers !

    Et, qui sait, trouver des propriétés stupéfiantes à ce minéral rarissime...

    Source : Maxisciences

    Sur un sujet analogue, lire : La kryptonite, ça existe !