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Découvertes - Page 9

  • Une rivière anglaise tourne à l'orange

    Calder orange.jpgLa Calder, une rivière du Yorkshire (Angleterre) qui traverse la ville d'Halifax, a viré à l'orange en une nuit. Sur une quinzaine de kilomètres, la rivière arbore une teinte orangée, faisant craindre à la population une pollution massive.

    En réalité, de fortes pluies auraient lessivé les sols d'une mine de fer désaffectée aux abords de la Calder, lui donnant cette couleur inhabituelle. Aucun impact n'est prévu à court terme sur la faune et la flore, les prochaines pluies devraient rendre sa couleur normale au cours d'eau. 

  • Un ver marin envoie des missiles lumineux

    Ver marin lumineux.jpgSwima bombiviridis, vous connaissez ? C'est le nom scientifique d'un ver marin étonnant. Sa technique de défense est remarquable puisqu'elle consiste à effrayer ses prédateurs à l'aide de sphères lumineuses, se détachant de son corps.

    Plusieurs centaines de ces "bombardiers verts", comme les ont surnommés les scientifiques britanniques, ont été identifiés (sept espèces différentes en tout), après leur capture à des profondeurs comprises entre 1 et 4 kilomètres au large des Philippines, de la côte ouest des Etats-Unis et du Mexique.

    Ver gros plan missile.jpgLe Dr Karen Osborn, de la Scripps Institution of Oceanography de San Diego, déclarait : "Nous avons découvert un tout nouveau et vaste groupe d'animaux extraordinaires, dont nous ignorions totalement l'existence. Ils ne sont pas rares : quand on les aperçoit, c'est souvent par centaines mais leur habitat les rend très difficile à collecter.

    Lorsqu'ils se sentent menacés, ces animaux libèrent de petits "ballons", remplis d'un liquide qui les rend lumineux. L'intensité lumineuse de ces sphères s'accroît durant quelques secondes, avant qu'elles ne s'éteignent.

    Source : Yahoo!, Maxisciences.

  • Les paradoxes de la bière

    beer-biere.jpgQuoi de plus rafraîchissant qu'une bonne bière lorsqu'il fait chaud ? De plus, ce n'est que du naturel, comme dirait mon frère qui me rappelle que la bière, c'est avant tout une soupe de houblon (je le laisse responsable de ses propos).

    Comme pour accréditer cette idée, une étude espagnole publiée dans le magazine Nutrition affirme que les os des femmes qui boivent régulièrement de la bière sont plus solides, les rendant moins susceptibles de souffrir d'ostéoporose. Selon les chercheurs, la quantité de silicium élevée dans la bière permettrait de ralentir l'affinement des os qui mène aux fractures et favoriserait la formation d'un nouvel os. La bière serait également riche en phyto-oestrogènes qui gardent les os en bonne santé.

    Sauf que dans le même temps ou presque, une autre étude menée par les chercheurs de l'Université McGill de Montréal montre que les hommes buvant régulièrement une bière ou un verre d'alcool fort pourraient être exposés à un risque accru de cancer. L'étude conclut que ceux qui ont bu en moyenne une de ces boissons par jour ont plus de probabilité de développer un certain nombre de cancers que les hommes qui ne boivent qu'occasionnellement ou pas du tout. Il s'agit notamment des cancers de l'oesophage, de l'estomac, du côlon, du poumon, du pancréas, du foie et de la prostate.

    Information non négligeable : les scientifiques ont constaté que seuls la bière et les spiritueux - et non le vin - étaient liés à ce risque accru de cancer. De nombreuses études ont laissé entendre que le fait de boire modérément - pas plus d'un verre ou deux par jour - pouvait être une habitude bonne pour la santé, en particulier lorsqu'il s'agit d'atténuer le risque d'attaque cardiaque. Mais l'enquête des chercheurs de McGill suggère que même une consommation modérée de bière ou d'alcool fort pourrait être nuisible.

  • Jurer soulage la douleur

    Que celui qui n'a jamais lancé un juron en se coinçant le doigt dans une porte ou en se cognant un orteil contre le bord d'un lit me jette la première pierre ! Un réflexe courant et peu élégant, mais semble-t-il très efficace pour aider à soulager la douleur.

    Des chercheurs de l'université britannique de Keele ont constaté que le fait de répéter un juron augmentait le seuil de tolérance à la douleur de volontaires dont la main était plongée dans l'eau glacée. Cela leur permettait de maintenir cette position plus longtemps que lorsqu'ils répétaient un mot plus "neutre".

    Le fait de jurer, "phénomène linguistique presque universel", n'entraîne donc "pas seulement une réponse émotionnelle mais aussi une réponse physique", ce qui pourrait expliquer pourquoi cette pratique séculaire s'est développée et persiste aujourd'hui, a expliqué Richard Stephens, l'un des auteurs de cette étude publiée dans la revue scientifique Neuro Report.

    Source : Lemonde.fr

  • Une nouvelle chauve-souris en France

    Chauve-souris.jpgUne équipe de chercheurs du Muséum national d'histoire naturelle a recensé une nouvelle espèce de chauve-souris sur le territoire français, via une technique de séquençage de l'ADN.

    L'animal appartient au genre Myotis. Du fait de leur ressemblance morphologique, certaines espèces sont passées inaperçues pendant longtemps. Au cours des 10 dernières années et grâce aux techniques employées en biologie moléculaire depuis la seconde moitié du XXe siècle (séquençage ADN), les recherches ont ainsi permis de découvrir 20 % d'espèces de chiroptères insoupçonnées.

    Cette étude permet d'ajouter une nouvelle espèce de chiroptère à la faune française, qui comprend à ce jour 34 espèces de chauves-souris, toutes strictement protégées par la loi.

  • Les plantes communiquent pour se protéger !

    Un scientifique américain aurait apporté la preuve que les plantes communiquent entre elles. Les plantes d'une même famille s'enverraient des signaux chimiques pour s'alerter mutuellement de la venue de prédateurs.

    Selon l'expert entomologiste américain Richard Karban, les membres du règne végétal seraient, selon ses propres dires, «capables de comportements plus évolués que ceux que nous pouvons imaginer». Son travail, qu'il admet controversé, établit que les plantes communiquent en s'envoyant des messages chimiques dans l'air, messages leur permettant de signaler la venue de prédateurs.

    Selon lui, quand une plante voisine perçoit le message, elle renforce ses défenses contre les criquets, les chenilles ou autres envahisseurs. Le professeur Karban, attaché à l'université de Californie, pense qu'il a prouvé qu'il existe un mode de « conversation » entre certains buissons épineux natifs de l'ouest des Etats-Unis.

  • Les dinosaures étaient plus petits qu'on ne le pense

    Les dinosaures n'étaient pas aussi grands que ce que les scientifiques pensaient. En effet, la méthode utilisée pour estimer leur masse serait erronée, et leur taille a probablement été surévaluée. Les chercheurs pensent que la première estimation de la masse de l'Apatosaurus louisae, l'un des plus grands dinosaures connus, serait le double de sa véritable masse. Au lieu de 39 tonnes, Apatosaurus pèserait à peine 18 tonnes.

    « Pendant 25 ans, les paléontologues ont utilisé un modèle statistique pour estimer le poids des dinosaures géants et d'autres grands animaux de lignées disparues » explique Gary Packard, directeur de recherche à l'université du Colorado. « En réexaminant les données de l'échantillon de référence initial, nous avons montré que le modèle statistique est sérieusement erroné et que les dinosaures étaient probablement deux fois moins lourds que ce que l'on croyait ».

    L'échantillon de référence est constitué de 33 espèces de mammifères quadrupèdes classés selon leur taille : d'un rongeur de 47 grammes jusqu'à un éléphant de 4 tonnes. Les scientifiques ont extrapolé les mesures de ces animaux pour estimer la masse des dinosaures. Mais selon l'équipe du docteur Packard, une erreur mathématique s'est produite : ainsi, la masse du Styracosaurus doit être réduite de 21 % et le Diplodocus perd 27 % de sa masse passant ainsi de 5500 à 4000 kg.

  • Oiseaux et dinosaures : aucun lien ?

    oiseu001.jpgAprès avoir étudié comment les oiseaux bougent et respirent, une équipe de  scientifiques de l'université de l'Oregon (Etats-Unis) affirme que ces derniers ne descendent pas des dinosaures mais auraient évolué indépendamment.

    Depuis des décennies, on sait que le fémur chez l'oiseau est quasiment figé, empêchant ces animaux de courir facilement. Mais les chercheurs américains ont découvert que cet os maintient également leurs poumons, leur permettant de respirer en plein vol. Tous les autres animaux ayant marché sur Terre, y compris les humains, les éléphants, les lézards et les dinosaures théropodes (famille qui comprend les T-Rex) ont un fémur libre de tout mouvement.

    Cette découverte pourrait forcer les paléontologistes à reconsidérer leurs croyances selon lesquelles les oiseaux modernes sont des descendants directs d'anciens dinosaures carnivores. « C'est surprenant que nous n'ayons pas compris un élément basique de la biologie des oiseaux » déclare le chercheur américain John Ruben. Les caractéristiques telles que les plumes, les ailes et la façon unique qu'ont les oiseaux de se mouvoir se seraient donc développées séparément.

    Selon le professeur Ruben, les oiseaux et les dinosaures partageraient un ancêtre commun, Karamuru vorax, qui parcourait la Terre il y a 250 millions d'années.« Il paraît maintenant très clair que les oiseaux ont évolué de leur propre côté et ne descendent pas directement des dinosaures théropodes » conclut John Ruben.

    Source : Maxisciences

  • Certains dinosaures auraient vécu plus longtemps


    Source : Maxisciences

  • Pas d'air, de lumière et de chaleur... et ça vit !

    Antarctique.jpgCeux qui prétendent que les extraterrestres son déjà parmi nous n'ont peut-être pas tort ! :-)
    On vient de découvrir en Antarctique une colonie de micro-organismes qui survit sous un glacier, dans un milieu sans oxygène, sans lumière et sans chaleur. Pour les scientifiques, cette découverte conduit à réviser les conditions réellement nécessaires à la vie.

    Ces créatures microscopiques ont développé un écosystème unique sous le glacier Taylor, dans la « Mc Murdo Dry Valley » en Antarctique, l'un des environnements les plus hostiles du monde. Elles s'y sont développées en utilisant le soufre et des composés ferreux pour croître. En effet, les analyses des échantillons d'eau révèlent un manque total d'oxygène, mais un haut taux de soufre, ce qui constitue une marque géochimique des environnements marins.

    Les chercheurs pensent donc que les micro-organismes ont commencé à vivre dans les océans, puis ont été isolés dans ce bassin quand le niveau de la mer a baissé il y a plus d'1,5 million d'années. Apprendre comment ces micro-organismes ont survécu pourrait aider les scientifiques à mieux comprendre l'apparition de la vie sur Terre.

    Source : Maxisciences

  • Découverte d'un poisson psychédélique

    Une nouvelle espèce a été découverte dans les profondeurs au large de l'Indonésie. Il s'agit d'un poisson très curieux, aux couleurs psychédéliques et au déplacement aussi hésitant qu'un noctambule ayant fait la tournée des bars...

  • Un oiseau de 10 millions d'années au Pérou

    1384377291-un-fossile-d-oiseau-vieux-de-10-millions-d-annees.jpgUn fossile d'oiseau vieux de 10 millions d'années a été découvert dans une région désertique du sud-ouest du Pérou, rapportent des paléontologues. Cette espèce, dont les ailes faisaient 6 mètres d'envergure, se nourrissait essentiellement de poissons de l'océan Pacifique. Apparue il y a 50 millions d'années, elle s'est éteinte 2,5 millions d'années avant notre ère en raison du changement climatique, explique Mario Urbina, du Muséum d'histoire naturelle du Pérou.

    Les scientifiques ont découvert le crâne de cet animal à Ocucaje, dans la région d'Ica, où le climat aride a permis de préserver de nombreux fossiles. "Le crâne de cet oiseau, de la famille des Pelagornithidae, est le plus complet jamais trouvé dans le monde", s'est réjoui Urbina.

    Doté de dents à l'extrémité de son bec, le crâne fossilisé mesure environ 40 cm de longueur. Selon Urbina, les larges ailes de l'oiseau étaient moins efficaces que celles de ses homologues d'aujourd'hui. "Les dents servaient à capturer ses proies. C'est peut-être un animal qui mâchait ses repas en vol. Il avait du mal à décoller du sol et devait trouver un point surélevé pour s'élancer."

    Source : Yahoo!

    Mon commentaire : ce volatile avait une envergure double de celle d'un condor des Andes actuel, mais un bec beaucoup plus impressionnant. Selon l'article, il a disparu bien avant l'apparition de l'homme moderne.