L'Orang Pendek ("petit homme" en malais) est un primate légendaire indonésien qui vivrait bien caché sur l'île de Sumatra en Indonésie. Il s'agit d'un cryptide, une créature ou un animal dont l'existence est supposée, mais non confirmée comme le Yéti dans l'Himalaya, Bigfoot en Amérique du Nord ou l'existence d'un buteur au PSG (joke)...
Cette petite créature (1,50 m tout au plus) serait un bipède, comme l'homme, et aurait été aperçue plusieurs fois ces dernières décennies mais sans aucune preuve.
Ainsi, en 1923, le néerlandais Van Herwaarden le décrit avec une peau rose tirant sur le brun et couvert d'une fourrure rase sombre, et coiffé d'une longue crinière de poils tombant sur son dos (comme les footballeurs allemands dans les années 80, re-joke).
La créature lui a semblé si humaine qu'il n'a pas osé lui tirer dessus (autrement dit, si elle avait eu l'air d'un animal ce qu'elle est probablement, il aurait fait un carton..). Cette fois-ci, des scientifiques britanniques pensent pouvoir identifier son ADN grâce à des empreintes, des poils et un morceau de palmier mâchouillé. Les sceptiques, eux, penchent pour un orang-outan ou un gibbon, des singes plus ordinaires mais toujours sympathiques.
Découvertes - Page 7
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Sur les traces d'un singe légendaire
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La vie serait née dans la glace
Et si la vie était apparue dans les glaces plutôt que dans les océans ?
Etrange thèse... En tout cas, c'est celle que développent certains scientifiques.
Lire l'article complet sur Slate.fr -
Une tomate géante en Haute-Garonne
Toutes nos félicitations à Jean-Luc Massot, un habitant de Quint-Fonsegrives (Haut-Garonne) qui a cueilli ce magnifique spécimen de tomate dans son potager en août 2010
Cette tomate, d'un poids de 1,6 kg, fait partie d'une récolte exceptionnelle, qui va permettre à Jean-Luc de remplir sa réserve de conserves, afin de préparer poissons, escargots et gibiers durant la saison d'hiver.
Membre du club de pétanque les «Boules Joyeuses», chasseur et fin pêcheur, Jean-Luc est également un passionné de jardinage, auquel il consacre une bonne partie de son temps libre. Cet amoureux de la nature n'hésite pas à faire des kilomètres pour aller cueillir champignons, asperges sauvages ou ramasser des escargots.
Source : La Dépêche
Crédit photo : DDM -
De nouvelles espèces au fond de l'océan
Une dizaine de nouvelles espèces aux couleurs vives et aux formes surprenantes ont été découvertes dans les profondeurs de l'océan Atlantique, à l'occasion d'une mission scientifique ayant utilisé les dernières innovations technologiques en matière de plongée.
Selon les scientifiques du programme de recherche international à l'origine de leur découverte, plusieurs de ces créatures pourraient constituer les "chaînons manquants" entre vertébrés et invertébrés. Les chercheurs ont ainsi collecté des entéropneustes, proches cousins des annélides.
Ces vers appartiennent à un petit groupe d'animaux proches du chaînon manquant entre vertébrés et invertébrés. Ils n'ont pas d'yeux, pas d'organes des sens différenciés ou de cerveau, mais possèdent une tête et une queue et le schéma archaïque d'un animal vertébré.
Source : Maxisciences
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Pour vivre mieux, faites des blagues !
C'est une étude norvégienne qui l'affirme : lorsqu'on a le sens de l'humour, on vit plus âgé. Selon les chercheurs norvégiens (un pays d'ailleurs réputé pour son humour ??), les personnes ayant le sens de l'humour auraient une espérance de vie plus importante (jusqu'à 20%) que celle avouant ne pas avoir d'humour.
Cette étude scientifique, publiée dans l’International Journal of Psychiatry in Medicine, a été mesurée grâce à un test en trois questions permettant d’estimer la manière de penser de façon humoristique et de comprendre les plaisanteries. 53 500 personnes y ont participé sur sept ans.
Malgré tout, après 65 ans, la prédisposition génétique et les facteurs biologiques du vieillissement deviennent de plus en plus importants. Selon les chercheurs norvégiens (de joyeux drilles apparemment), l'humour peut s'apprendre et s'améliorer avec de la pratique (ah bon ?).
Source : Europe 1
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On a repéré la zone de la peur
Des scientifiques israéliens auraient découvert la zone du cerveau qui héberge la peur. Ils ont étudié la réaction du cerveau confronté à l’ophidiophobie, c'est-à-dire la peur des serpents.
Pour cela, ils ont scanné le cerveau de volontaires atteints ou pas de cette phobie alors qu’ils observaient soit un ours en peluche soit un serpent vivant passant devant leurs yeux.Juste en pressant un bouton, l’ours ou le reptile pouvait s’approcher ou s’éloigner des participants. Les scientifiques ont alors découvert que lorsque les volontaires souffrant de la peur des serpents étaient assez courageux pour approcher le serpent d’eux, une zone du cerveau s’éclaircissait sur le scan. Il s'agit du cortex cingulaire, qui contrôle les émotions.
Les chercheurs espèrent que cette découverte permettra le développement de remèdes contre des phobies qui peuvent handicaper la vie de certaines personnes. Ils redoutent aussi que cette découverte soit mal utilisée, notamment en supprimant toute peur dans le comportement des militaires notamment.
Source : Zigonet
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Une montagne sous l'Antarctique
Une équipe de scientifiques vient de publier des images détaillées des montagnes Gamburtsev, une chaîne de montagnes située sous l’Antarctique.
Découvertes voici cinquante ans environ, les montagnes Gamburtsev, d’une longueur de 1200 kilomètres, s’élèvent à plus de 2400 mètres de hauteur et sont enfouies sous une couche de glace de plus de 1,6 kilomètre d’épaisseur.
Les images révèlent des paysages avec des sommets très proéminents, des rivières profondes et des lacs d’eau liquide… enfouis sous le pergélisol. Pour parvenir à constituer ces images, une équipe de sept scientifiques a été mobilisée durant deux mois. Ils ont récolté une énorme quantité d’informations, à l’aide d’équipements ultra sophistiqués. Reste désormais à les interpréter.
Source : Maxisciences
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Mieux qu'un café, la nature !
Des psychologues de l'université de Rochester (Etats-Unis) affirment que passer 20 minutes en pleine nature aurait le même effet stimulant qu'une tasse de café. Selon eux, la nature "est le carburant de l'âme" et à son contact, l'homme se sentirait plus vivant. Le contact direct avec la nature aurait un effet stimulant et revitalisant.
Et nul besoin de pratique une activité, ne rien faire au grand air serait suffisant. L'étude, menée sur 537 étudiants volontaires, a démontré que les étudiants qui avaient le plus d'énergie étaient ceux se représentant à l'extérieur et que 20 minutes dans la nature suffisaient à les redynamiser.Mon commentaire : franchement, tous ceux qui aiment bien faire de la randonnée, voire un pique-nique en famille ont éprouvé ce sentiment très agréable. Pas besoin de faire une étude pour s'en rendre compte, si ? Et le top du top, c'est de boire son petit café dans une clairière au milieu d'un bois :-)
Photo : J.
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Entre longévité et mort précoce
Deux informations presques simultanées qui modifient notre perception de la vie et de la mort.
D'abord, en étudiant des centenaires, des chercheurs de l'Institut du vieillissement à l'Albert Einstein College of Medicine de New York ont découvert que certaines personnes vivaient plus longtemps que d'autres en raison de leur génotype. C'est leur ADN qui les prédestine à une plus longue vie, bien que certaines d'entre elles aient fumé jusqu'à 95 ans, soient obèses ou aient un niveau de cholestérol élevé.
Les scientifiques sont parvenus à isoler les gènes responsables de l'allongement de l'espérance de vie. Un médicament pourrait être mis sur le marché dans les cinq à dix ans. devrait bientôt voir le jour. Demain, tous centenaires ?L'autre découverte est moins enthousiasmante : dormir moins de six heures par nuit peut conduire à une mort précoce, selon une étude de l’université de Warwick. D'après ces scientifiques, les personnes qui dorment moins de 6 heures par nuit auraient 12% de risques supplémentaires de mourir de manière prématurée, par rapport à celles dont le temps de sommeil varie entre 6 et 8 heures.
Dormir trop peu pourrait accroître le risque de contracter un diabète, augmenter l'hypertension ou le taux de cholestérol, et pourrait même favoriser l’obésité. En revanche, un sommeil trop long n’augmenterait pas le nombre de décès mais pourrait néanmoins être un signe de mauvaise santé. Bref, un sommeil trop court peut être la cause d'une maladie, un sommeil trop long le symptôme d'une maladie...
Source : Maxisciences -
Un animal monstrueux découvert dans un lac de l'Ontario
C'est un chien, Sam, appartenant à deux infirmiers qui a découvert le cadavre au début du mois de mai 2010: cet animal, sorti de l'eau du lac de Kitchenuhmaykoosib (Ontario, Canada), intrigue les scientifiques qui échouent à l'identifier.
Les photographies de l’étrange créature révèlent une bête poilue, semblable à une loutre mais n’ayant aucun poil au niveau du crâne, des pieds et des mains.
L’animal posséderait également des dents ressemblant à des sortes de défenses et une queue similaire à celle d’un rat. Certains pensent qu’il s’agit d’un croisement entre une loutre et un sanglier.
On compare la bête à un animal découvert en 2008 près de New York dans des circonstances similaires et qui n’a jamais pu être clairement identifié.
Vous avez une idée ?
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Deux morilles exceptionnelles
Le Journal de Gien nous rapporte qu'une habitante d'Adon-la-Bussière a eu la surprise de découvrir dans son jardin deux morilles exceptionnelles : 15 cm de largeur, 23 cm de hauteur et 300 grammes chacune. Demandez à n'importe quel amateur de champignons, c'est très au-dessus de la moyenne...
Ces deux champignons hors norme, qui se négocient en moyenne séché entre 50 et 100 € le kilo, ont poussé dans le noir total, sous la bâche d'un transat rangé pour l'hiver.
La morille pousse généralement sous les frênes mais apprécie aussi... les lilas. Elle affectionne également les zones humides (bords de cours d'eau). Son cousin, le morillon, est moins goûteux.Source : Le Journal de Gien
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Un nouvel élément chimique super-lourd
Des chercheurs russes et américains ont découvert un nouvel élément super-lourd, environ 40 % plus lourd que le plomb, qu'ils ont baptisé pour l’instant "ununseptium". Ils ont fabriqué six atomes dans un accélérateur de particules, en faisant entrer en collision des atomes de calcium avec un autre élément lourd et rare, le berkélium.
L’élément 117 n’est pas stable, tout comme les autres atomes super-lourds, et ne dure qu’une fraction de seconde avant de s’autodétruire et de se diviser en d’autres éléments et particules plus légers.
L'ununseptium vient compléter la table périodique des éléments chimiques. Il se rapprocherait de l’îlot de stabilité, lequel constituerait un ensemble de noyaux super-lourds qui se désintégreraient moins vite que ceux produits dans les accélérateurs. De nouveaux matériaux, très spéciaux, pourraient ainsi être mis au point grâce à cette découverte.
Source : Maxisciences