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Découvertes - Page 10

  • Première : Un disque de glace en Angleterre

    le-disque-de-glace-observe-sur-la-riviere-otter_1283_w560.jpgC'est une curieuse formation de glace circulaire que l'on vient de photographier pour la première fois en Angleterre, dans le Devon. Ce disque de glace est parfaitement circulaire et tourne sur lui-même. D'ordinaire, ce type de structures, qui peut parfois mesurer plusieurs centaines de mètres de diamètre (record 600 mètres de diamètre en Suède) apparaissent par grand froid en Arctique, en Scandinavie ou au Canada.
    Le disque anglais, d'un diamètre de 3 mètres environ, a été découvert par Roy Jefferies qui promenait son chien le long de la rivière Otter, près de la ville d'Honiton. Ces disques résultent d'une accélération des eaux qui brise un gros morceau de glace et le fait tourner sur lui-même. Le disque de glace en rotation, d'abord grossier, s'érode au contact de la glace l'entourant, donnant naissance à une structure parfaitement circulaire.

    Source : Maxisciences, Telegraph.

  • Un monde inconnu découvert grâce à Google Earth

    Une équipe britannique, qui observait l'Afrique avec le logiciel Google Earth a repéré au Mozambique une zone manifestement inexplorée depuis longtemps. Une expédition s'est rendue sur place en 2005 et a effectivement découvert un trésor d'espèces nouvelles.

    L'équipe de Jonathan Timberlake, du British Royal Botanic Gardens (Kew, Royaume-Uni), qui travaillait déjà sur la faune et la flore du Mozambique, cherchait une région très isolée susceptible d'abriter des espèces inconnues. Plutôt que de partir en en exploration avec des véhicules tout terrain ou un hélicoptère, ils ont opté pour l'ordinateur.

    Grâce à Google Earth, ils ont identifié une zone forestière de 80 kilomètres carrés, d'où émergeait un sommet haut de 1700 m, le mont Mabu. L'endroit n'est pas vierge au sens strict du terme mais il est actuellement isolé de toute activité humaine. En effet, la forêt a été protégée par la guerre civile qui a meurtri le pays entre 1975 et 1992. Autour de cette zone, le territoire a été dévasté et abandonné par les populations, laissant la forêt intacte.
    L'endroit se trouve au sud-sud-est du lac Chilwa (situé au Malawi). Pour le trouver sur Google Earth, copier ses coordonnées : 16°17'56.00" S 36°23'44.00" E, à coller dans la rubrique Aller à.

    Source : Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences. 

  • Patagonie : le squelette d'un dinosaure géant

    Le squelette d'un dinosaure carnivore géant, découvert dans la région argentine de Patagonie (sud) au coeur de rocs vieux de quelque 70 millions d'années, vient d'être présenté au Musée des sciences naturelles Bernardino Rivadavia à Buenos Aires.

    Le spécimen baptisé "Austroraptor cabazai", a été découvert à Bajo de Santa Rosa, dans le nord de la Patagonie, dans une zone où avaient déjà été découverts des ossements de spécimens de dinosaures herbivores. L'importance de cette découverte réside dans le fait qu'il s'agit d'un des plus grands prédateurs du monde préhistorique, apparenté au groupe des dromaeosauridés (dinosaures carnivores), qui vécut dans de nombreuses régions du monde au Crétacé, il y a 145 à 65 millions d'années.

    Agile et rapide, ce dinosaure était parmi les prédateurs les plus efficaces de son époque. Tous les dinosaures carnivores étaient bipèdes, à l'image du célèbre Velociraptor de Mongolie.

    Source : Yahoo.fr

  • La plus vieille toile d'araignée du monde

    Incroyable : des scientifiques de l'université d'Oxford ont découvert, prisonnière d'un morceau d'ambre, la plus vieille toile d'araignée du monde... âgée de 140 millions d'années ! Autant dire qu'elle a été tissée alors que les dinosaures peuplaient encore la surface de la planète.

    En réalité, il s'agit juste de minuscules fils de soie d'araignée et non d'une toile complète. Mais cette découverte révèle que les araignées tissaient des toiles circulaires bien avant l'apparition des plantes à fleurs sur notre planète, laquelle a conduit à une véritable explosion des populations d'insectes volants. Dans tous les cas, c'est étonnant de voir quelque chose d'aussi délicat se conserver tant de millions d'années.

    Source : Maxi-Sciences.

  • Une pomme de terre géante au Liban

    Pomme de terre géante.jpgCet agriculteur du sud du Liban n'en revient toujours pas : quelle ne fut pas sa surprise en découvrant dans son champ une pomme de terre géante, pesant pas moins de 11,3 kilos !

    "Cela fait depuis mon enfance que je travaille la terre, et c'est la première fois que je vois une chose pareille!", raconte à l'AFP Khalil Semhat, un agriculteur de 56 ans de la région de Tyr (85 km au sud de Beyrouth), "je n'ai utilisé aucun ingrédient chimique", assure-t-il.

    M. Semhat, qui a dû demander de l'aide à un ami pour transporter le tubercule gros comme trois têtes humaines, indique avoir l'intention d'envoyer une demande d'enregistrement auprès du livre Guiness des records. Il se dit "très fier" de sa découverte, d'autant plus que son terrain, où il cultive des pommes de terre et des bananes, a été détruit en 2006 par les bombardements israéliens lors de la guerre entre le Hezbollah et l'Etat hébreu.

    Source : AFP.

  • Un arbre japonais ressemble à Godzilla

    La nature a parfois le sens de l'humour comme au Japon où un arbre, observé selon un certain angle, présente une ressemblance troublante avec le fameux monstre nippon Godzilla. A quand un cactus en forme de Bart Simpson ?

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  • Pour séduire, mettez du rouge !

    Sexy-en-robe-rouge.jpgMesdames, mesdemoiselles, pour séduire, une seule recette : habillez-vous en rouge ! Une étude menée par Andrew Elliot, professeur à l'université de Rochester, dans l'Etat de New York, publiée dans le Journal of Personality and Social Psychology, montre en effet que le rouge peut faire perdre la tête aux hommes.

    Selon cette enquête,  les hommes trouvent les femmes plus attirantes si elles sont vêtues de rouge ou si elles se trouvent dans un environnement où apparaît cette couleur traditionnellement associée à l'amour. Si ce penchant peut être effectivement rattaché à un héritage culturel, il pourrait aussi puiser ses racines dans des prédispositions biologiques propres à la nature de l'homme.

    Dans l'expérience menée, la même jeune femme, si sa photo est bordée de rouge, apparaît plus attirante que lorsque le cliché est bordé d'une autre couleur. Même résultat quand cette jeune femme est vêtue d'un chemisier rouge plutôt que bleu. Les hommes à qui on proposerait un rendez-vous avec une jeune femme se disent prêts à dépenser plus pour la "femme en rouge" que pour la même femme portant un vêtement d'une autre couleur.

  • Yéti : des Japonais auraient découvert des empreintes

    Empreintes yéti.jpgUne équipe d'aventuriers japonais a affirmé le 20 octobre 2008 avoir trouvé des empreintes de pas attribuées au mythique yéti qui rôderait dans les montagnes de l'Himalaya entre le Népal et le Tibet.

    "Les empreintes mesuraient environ 20 centimètres de long et ressemblaient à celles d'un être humain", a déclaré à l'AFP à Katmandou Yoshiteru Takahashi, chef du Programme Yéti du Japon. M. Takahashi était de retour avec ses sept comparses de leur troisième mission longue de 42 jours sur le Dhaulagiri IV (7 661 mètres d'altitude) à la recherche de la légendaire créature. Ils n'ont cependant pas réussi à filmer le yéti, ce qui était normalement leur objectif.

    "Nous nous rendons dans l'Himalaya depuis des années et nous sommes capables de reconnaître des empreintes d'ours, de daim, de loup ou de léopard des neiges et ce que nous avons vu n'était rien de toute cela", a assuré le Japonais.

    Cette bête, mi-homme, mi-singe, excite depuis des décennies l'imaginaire d'aventuriers étrangers, surtout occidentaux : en décembre dernier une équipe de télévision américaine était aussi redescendue des pentes de l'Everest, entre le Népal et le Tibet, en annonçant avoir trouvé des traces de pas du yéti.

    "Nous restons convaincus qu'il existe. Grâce aux empreintes et aux histoires que les habitants nous racontent, nous sommes sûrs que ce n'est pas de l'imagination", a insisté M. Takahashi.

    L'alpiniste Reinhold Messner, qui a gravi à de nombreuses reprises des sommets de l'Himalaya et a cru en 1986 avoir aperçu la bête, a conclu en 1998 dans son livre "Ma quête du yéti" que l'animal n'existait que dans l'imagination des gens qui le confondent avec l'ours brun de l'Himalaya.

    Sources : AFP.

  • Pour trouver l'inspiration, rendez-vous à 23h04

    Une étude menée aux Etats-Unis vient de démontrer que nous serions dans notre meilleure phase d’inspiration de la journée à 23h04. Si vous êtes en quête d'une illumination subite, guettez donc cette heure précise. 

    En revanche, oubliez l'après-midi pour résoudre vos problèmes. L'enquête révèle en effet qu'après le déjeuner, l'inspiration est au plus bas (92 % des 1426 personnes interrogées le reconnaissent). Le moment le moins propice de la journée pour être inspiré serait d'ailleurs 16h33.

    Toujours d'après l'étude, un bon quart des personnes interrogées continue à chercher l'inspiration au-delà de minuit.

    Par ailleurs, prendre une douche serait une excellente méthode pour stimuler son inspiration. D'ailleurs, selon l'étude, la salle de bains serait un espace décisif pour nourrir celle-ci. 

    Enfin, l'étude montre que les idées sont souvent perdues car les gens ne pensent pas à les noter immédiatement et, en la matière, les femmes seraient plus attentives que les hommes.

    Mon commentaire : cette recherche va de pair avec l'adage bien connu "la nuit porte conseil" mais ne mesure pas assez l'efficacité d'un séjour prolongé aux toilettes comme déclencheur de bonnes idées...

  • Une espèce de fourmi très ancienne

    Une espèce de fourmi jusque-là inconnue, appartenant à la plus ancienne lignée de ces insectes remontant à plus de 120 millions d'années, a été découverte en Amazonie, selon une communication dans la dernière édition des Annales de l'académie américaine des sciences (PNAS).

    "Cette découverte est peut-être d'une grande importance en termes d'évolution et révèle une richesse d'espèces de fourmis vivant encore dissimulées dans le sol de la forêt vierge", écrit l'un des scientifiques co-auteurs de cette communication.
    "Basée sur nos données de fossiles, on suppose que l'ancêtre de cette fourmi devait ressembler à une sorte de guêpe, peut-être similaire à la guêpe fourmi primitive Sphecomyrma aujourd'hui éteinte (...)"

    La nouvelle fourmi a été baptisée Martialis heureka ou "fourmi de Mars" parce qu'elle combine des caractéristiques jamais observées auparavant surtout pour vivre dans le sol. Aveugle -elle n'a aucun oeil-, pâle et dotée de larges mandibules pour probablement saisir ses proies, cette fourmi mesure de deux à trois millimètres.(...) Cette découverte devrait aider les biologistes à mieux comprendre la biodiversité et l'évolution des fourmis qui sont abondantes sur la Terre et jouent un rôle écologique important. Le biologiste a récupéré le seul spécimen connu de la fourmi Martialis heureka en 2003 dans un collecteur de feuilles mortes à Manaus, une ville au coeur de l'Amazone. (...)

    Source : AFP, Washington.

  • Le règne des dinosaures, juste de la chance ?

    Le règne sans partage des dinosaures sur la Terre pendant plus de 160 millions d'années n'a pas été le fait d'une supériorité physiologique supposée mais surtout... de la chance, selon des travaux publiés aux Etats-Unis.

    fbb80f77d4b3c1ada6637b68e7a57721.jpg"Longtemps on pensait qu'il y avait quelque chose de spécial chez les dinosaures qui les aurait aidés à s'imposer durant leurs 30 premières millions d'années d'existence mais cela est faux", affirme Steve Brusatte, un chercheur de l'Université Columbia à New York, coauteur de cette étude.

    "Si nous avions été des observateurs durant cette période de leur histoire à l'ère du trias, nous n'aurions sans doute pas parié sur les dinosaures pour être l'espèce dominante pendant les 130 millions prochaines années mais sur les crurotarsiens, leurs concurrents, dont les seuls descendants sont les crocodiliens", ajoute-t-il.

    A la fin du trias, les crurotarsiens et les dinosaures se ressemblaient beaucoup et étaient probablement en concurrence pour consommer les mêmes ressources. Ces chercheurs (...) ont étudié les caractéristiques de l'évolution des dinosaures et des crurotarsiens durant ces 30 premières millions d'années en analysant près de 500 caractéristiques de squelette de 64 espèces ainsi que les rythmes d'évolution et les disparités morphologiques.

    85ed5c6f02047b2f4ac8420926e2f508.jpgIls n'ont trouvé aucune différence dans ces mesures entre dinosaures et crurotarsiens, à la surprise des paléontologues.
    Si les dinosaures avaient été "supérieurs" durant cette première période de leur histoire, ils auraient probablement connu une évolution plus rapide que celle des crurotarsiens, soulignent-ils. En termes de disparité morphologique, les crurotarsiens étaient même supérieurs, avec une plus grande diversité de taille, de types de corps, de régimes alimentaires et de modes de vie (aquatique et terrestre). (...)

    Si les dinosaures et les crurotarsiens ont survécu à la première extinction de masse il y a 251 millions d'années, apparemment provoquée par l'impact d'une météorite, les crurotarsiens n'ont pas résisté à un second cataclysme destructeur 51 millions d'années plus tard. Un réchauffement important du climat dû probablement aux retombées de la chute d'une météorite a provoqué étrangement une extinction soudaine des crurotarsiens, épargnant les dinosaures devenus ensuite les maîtres de la Terre jusqu'à leur disparition, il y a 65 millions d'années quand une autre météorite a bouleversé le climat.

    "On n'a pas de réponse (scientifique) à la question de savoir pourquoi les crurotarsiens ont disparu et pas les dinosaures", poursuit le paléontologue Michael Benton de l'université de Bristol (Grande-Bretagne), coauteur de cette recherche. "Nous suspectons que ce n'est rien d'autre que de la pure chance", dit-il. (...)

    Source : AFP, Washington (Jean-Louis Santini)
     

  • On a trouvé de la silice sur Mars

    56c472f90a1a1b31fef0d9dcc171a216.jpgSelon une étude qui vient de paraître, les dépôts de silice presque pure par le robot américain Spirit sur Mars ont été formés par des vapeurs volcaniques ou des geysers voire les deux en traversant le sol et pourraient contenir des traces de vie passée.

    De tels dépôts se trouvent sur la Terre autour de cheminées hydrothermales comme celles du parc national américain de Yellowstone dans le Wyoming (ouest) célèbre pour ses phénomènes géothermiques où l'on compte les deux tiers des geysers de la planète, et de nombreuses sources d'eau chaude.(..)

    "Sur Terre, des dépôts hydrothermaux vont de pair avec la vie et la silice se trouvant à proximité de ces bouches contient très souvent des fossiles de restes de microbes, souligne Jack Farmer, professeur d'astrobiologie à l'Université d'Etat d'Arizona (sud-ouest), un des auteurs de ces travaux, mais nous ne savons pas si c'est la cas pour la silice découverte par Spirit car ce robot, comme son jumeau, est dépourvu d'instrument pouvant détecter la vie microscopique. Ce que nous pouvons dire c'est que cet environnement fut habitable avec de l'eau liquide et la présence de sources d'énergie nécessaires pour la vie".(...)

    La découverte de dépôts de silice dans le cratère de Gusev situé dans la région équatoriale de la planète rouge avait été brièvement annoncée par la Nasa en 2007.

    Source : AFP, Washington.