Un mystère insondable. Un épais manteau de couleur rouge vive recouvre, depuis plusieurs jours déjà, l'étang de la Forge à Glageon (Nord). C'est un photographe qui a fait la découverte....
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Un mystérieux lac rouge dans le Nord
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Un animal monstrueux découvert dans un lac de l'Ontario
C'est un chien, Sam, appartenant à deux infirmiers qui a découvert le cadavre au début du mois de mai 2010: cet animal, sorti de l'eau du lac de Kitchenuhmaykoosib (Ontario, Canada), intrigue les scientifiques qui échouent à l'identifier.
Les photographies de l’étrange créature révèlent une bête poilue, semblable à une loutre mais n’ayant aucun poil au niveau du crâne, des pieds et des mains.
L’animal posséderait également des dents ressemblant à des sortes de défenses et une queue similaire à celle d’un rat. Certains pensent qu’il s’agit d’un croisement entre une loutre et un sanglier.
On compare la bête à un animal découvert en 2008 près de New York dans des circonstances similaires et qui n’a jamais pu être clairement identifié.
Vous avez une idée ?
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Des cascades de sang en Antarctique
Encore un titre qui va réveiller le vampire qui sommeille en vous ! En fait, il s'agit d'un phénomène insolite mais complètement naturel que l'on peut observer en Antarctique, à la pointe du glacier Taylor. A cet endroit, la glace se teinte de rouge, donnant au site le nom de "cascades de sang".
Découvert en 1911 par Sir Thomas Griffith Taylor, le lieu a longtemps intrigué les scientifiques. Jusqu'à ce qu'on découvre qu'il y a environ cinq millions d'années, le glacier Taylor renfermait un lac d'eau salée sous 400 mètres de glace.
Dans cette poche s'est développé un écosystème unique, avec des microbes isolés de l'air, de la lumière et de la chaleur.
L'eau salée enfermée dans le glacier est très chargée en oxyde de fer, ce qui explique cette teinte rouge si particulière de la glace lorsqu'elle est balayée par l'eau du lac souterrain qui s'échappe par des fissures.
Mon commentaire : quand la nature devient "gore"... -
Le plus beau miroir naturel du monde
Pour contempler ce superbe effet de réflection, vous devez vous rendre au sud-ouest de la Bolivie, au Salar de Uyuni, le plus grand lac salé du monde.
Durant la saison humide, le lac est recouvert d'une mince nappe d'eau, ce qui provoque cet effet miroir.
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Un lac peut disparaître en quelques heures
Rappelez-vous, en 2005, je vous parlais d'un lac russe qui avait mystérieusement disparu en l'espace d'une nuit. Peut-être faut-il effectuer un rapprochement avec cette étrange affaire de 2007 concernant la volatilisation d'un autre lac, cette fois-ci au Chili.
Une équipe de scientifiques chiliens avait fait cette surprenante découverte le 27 mai 2007pendant un déplacement dans la zone du fjord Tempanos, situé à la limite des régions australes d'Aysen et de Magallanes, dans le parc national Bernardo O'Higgins.
"Ils se sont trouvés devant une formidable surprise: le lac avait disparu, purement et simplement. Et nous ne parlons pas d'un petit lac, mais d'un assez grand", a raconté le directeur régional du corps des gardes forestiers chiliens (Conaf), Juan José Romero, à la radio Cooperativa. L'assèchement du lac a provoqué une forte diminution du débit d'une rivière de la Patagonie chilienne à 2 000 km au sud de Santiago.
En fait, la soudaine disparition du lac chilien en Patagonie serait un phénomène naturel assez "fréquent" mais très rarement observé, ont affirmé ensuite des experts à Santiago.
Cette disparition n'est pas "une nouveauté" explique à l'AFP, Carlos Palacios, un géologue de l'université du Chili."C'est assez fréquent en Patagonie. Seulement on arrive rarement à l'observer à cause de la faible population" de la Patagonie, ajoute le scientifique.
"C'est un processus local qui n'a rien d'inhabituel. Je ne dis pas que cela survient tout les jours, mais, comme ces lacs se forment dans une zone dynamique, ils peuvent se vider par les mouvements de la glace", affirme à l'AFP, le glaciologue, Andres Rivera, du Centre d'études scientifiques de Valdivia (sud).
La disparition du lac, selon M Palacios, "serait due à la pression des réserves d'eau sur une sorte de mur de retenue formé par la glace et les roches qui, en cédant, a provoqué une forte crue puis un écoulement massif de l'eau".Source : AFP, Santiago du Chili.