Il existe au Bahrein, un pays situé dans le golfe Persique, un arbre absolument unique. Baptisé “Sharajat-al-Hayat” (autrement dit “L’Arbre de Vie”), il s’élève seul au coeur du désert, au sommet d’une colline sableuse, à 2 km environ de Jebel Dukhan, le lieu le plus haut du Bahrein. 

Le végétal est vieux de 400 ans environ et mesure une dizaine de mètres de haut. Mais ce qui le rend extraordinaire, c’est qu’il survit miraculeusement dans des conditions difficiles sans qu’on sache d’où provient sa source d’eau.

Les experts qui sont venus examiner l’arbre sont perplexes. La théorie la plus répandue voudrait que les racines de l’arbre plongent très profondément dans le sol, vers des sources aquatiques encore inconnues. Mais rien n’est venu prouver cette thèse pour le moment.

Pour les habitants du coin, l’arbre doit sa longévité à Enki, une divinité de l’eau chez les Sumériens, et il marquerait l’emplacement du Jardin d’Eden.
Très logiquement, il attire les touristes mais les visiteurs, peu respectueux du lieu, ont déjà souillé l’arbre, gravant leur nom dans l’écorce ou taguant les branches. Désolant…

Deux informations presques simultanées qui modifient notre perception de la vie et de la mort.

D'abord, en étudiant des centenaires, des chercheurs de l'Institut du vieillissement à l'Albert Einstein College of Medicine de New York ont découvert que certaines personnes vivaient plus longtemps que d'autres en raison de leur génotype. C'est leur ADN qui les prédestine à une plus longue vie, bien que certaines d'entre elles aient fumé jusqu'à 95 ans, soient obèses ou aient un niveau de cholestérol élevé.
Les scientifiques sont parvenus à isoler les gènes responsables de l'allongement de l'espérance de vie. Un médicament pourrait être mis sur le marché dans les cinq à dix ans. devrait bientôt voir le jour. Demain, tous centenaires ?

L'autre découverte est moins enthousiasmante : dormir moins de six heures par nuit peut conduire à une mort précoce, selon une étude de l’université de Warwick. D'après ces scientifiques, les personnes qui dorment moins de 6 heures par nuit auraient 12% de risques supplémentaires de mourir de manière prématurée, par rapport à celles dont le temps de sommeil varie entre 6 et 8 heures.

Dormir trop peu pourrait accroître le risque de contracter un diabète, augmenter l'hypertension ou le taux de cholestérol, et pourrait même favoriser l’obésité. En revanche, un sommeil trop long n’augmenterait pas le nombre de décès mais pourrait néanmoins être un signe de mauvaise santé. Bref, un sommeil trop court peut être la cause d'une maladie, un sommeil trop long le symptôme d'une maladie...

Source : Maxisciences