Ce n'est pas tous les jours qu'on découvre un nouveau minéral. Or, la NASA vient juste de dévoiler la découverte d'un minéral, baptisé wassonite, qui a été trouvé sur une météorité trouvée en Antarctique en 1969.

Malgré la taille infime de l'échantillon identifié, c'est une découverte de taille. Car le minéral, extrait d'une météorite qui aurait près de 4,5 milliards d'années et qui résulterait d'un astéroïde en orbite entre Mars et Jupiter, est totalement inconnu sur Terre.

Nommé en hommage à John T. Wasson, un spécialiste des météorites à l'Université de Californie, la wassonite est composée uniquement de deux éléments, le soufre et le titane mais il comporte une structure cristalline unique en son genre et complètement inédite à ce jour. De quoi en apprendre davantage sur les secrets de l'univers !

Et, qui sait, trouver des propriétés stupéfiantes à ce minéral rarissime...

Source : Maxisciences

Sur un sujet analogue, lire : La kryptonite, ça existe !

Une nouvelle étude des scientifiques du Jet Propulsion Laboratory de la Nasa, basé à Pasadena, estime qu'il pourrait y avoir, tenez vous bien, 2 milliards de planètes comme la Terre uniquement dans notre galaxie.
Et je vous le rappelle, il y des milliards de galaxies dans l'Univers...
Je sais, ça donne le vertige.

Lire l'article complet de Space.com (en anglais)

Je voulais vous entretenir de cette triste nouvelle (en ce moment, je reconnais que l'actualité n'est pas très folichonne) mais un autre bloggeur, Legweak, l'a évoquée d'intéressante manière.

Aussi je vous laisse lire sa note sur l'extinction d'un animal : le cougar (ou puma de l'Est américain).

Le cataclysme qui s'est abattu sur l'archipel nippon le 11 mars 2011 a bouleversé la nature même de la planète. Selon l'Institut national de géophysique et de vulcanologie d'Italie, le séisme de magnitude 8,9 sur l'échelle de Richter aurait déplacé l'axe de rotation de la Terre de près de 10 cm. C'est presque le double du séisme de 2004 à Sumatra (6 cm de déviation).

Cet événement dramatique nous ramène à notre triste condition d'humain : lorsque la nature se met à faire des dégâts, l'homme n'a que peu de défenses et doit courber l'échine. Peut-être l'occasion de se rappeler que sur cette planète, nous ne sommes que des invités...

Deux vidéos montrant la violence du tremblement de terre et du tsunami qui l'a suivi... 

En juin 2010, une équipe d'intrépides scientifiques et volcanologues est descendue dans les profondeurs du cratère du volcan Nyiragongo, dans la région des Grands Lacs (Afrique). Ils sont parvenus à marcher jusqu'aux rives du plus grand lac de lave en activité dans le monde.

Risquant leur vie à tout moment en raison de la chaleur et des émanations toxiques, ils ont ramené un reportage photographique à couper le souffle que je vous invite à découvrir en cliquant ici.

Bon, aujourd'hui, on ne va pas mourir de rire avec cette histoire que je trouve à la fois émouvante et déprimante.

C'est à nouveau une histoire de baleine, cette fois-ci celle qui a la malchance de chanter sur une fréquence différente de celle de ses congénères (en gros, 51,75 hz, soit environ 25 Hz au-dessus des autres baleines). Résultat, elle a beau émettre des appels, à raison de deux à six chants de cinq secondes environ, aucune autre baleine ne les entend ! 

La conséquence, c'est que cette baleine vit seule, à l'écart des autres... et ceci depuis au moins 20 ans !
On le sait parce que les microphones aquatiques du Woods Hole Oceanographic Institution (Massachussetts) l'enregistrent régulièrement depuis deux décennies.

Comme toujours en pareil cas, on ne sait pas grand chose d'autre, ni la cause de sa différence "vocale" (une malformation ?), ni son apparence, puisque personne ne l'a jamais vue. Tout au plus a-t-on constaté qu'elle n'empruntait pas non plus les routes de migration connues des autres espèces de baleines. On la repère juste de temps à autre....

Pour la pister efficacement, il faudrait envisager de larges dépenses en temps et en argent que personne n'a les moyens de dégager pour le moment. En attendant, la "lonely whale" poursuit son existence de solitude absolue...

Rappelons les faits : 48 heures avant le séisme qui a frappé la Nouvelle-Zélande (plus de 75 morts à cette heure), on a découvert 107 baleines mortes échouées sur une plage du sud du pays. Même si rien n’est a priori établi, il est possible que ces baleines pilotes, dites globicéphales, aient ressenti ou subi des signes avant-coureurs du tremblement de terre.

Selon certains scientifiques, des variations brutales de grande ampleur comme les mouvements des plaques tectoniques ou les changements du champ électro-magnétique pourraient avoir désorienté la boussole interne des baleines pilotes.

Un tel phénomène s’était déjà produit il y a six mois peu avant un précédent séisme. Et on dénombrerait 80 cas similaires lors des quinze dernières années. Dans les zones à risque du fait de leur sismicité, on a souvent l’habitude d’observer la nature et les réactions des animaux, réputés beaucoup plus sensibles que nous, pour anticiper de futurs séismes.

Au bureau, évitez l’hypocrisie à tout crin. En effet, se forcer à sourire serait très nuisible pour la santé.

Une étude américaine récente, menée sur des chauffeurs de bus (dont le métier réclame courtoisie et politesse), tend à démontrer que faire un effort pour paraître de bonne humeur sur son lieu de travail entraîne des conséquences négatives sur son moral et sa santé. Etre obséquieux s’accompagne d’une baisse de la productivité et de la concentration.

Cette étude confirme celle d’un psychologue allemand qui en 2008 avait averti les « professionnels du sourire » comme les hôtesses de l’air ou les vendeurs en magasin que trop d’amabilité pouvait causer stress, dépression et une hausse du rythme cardiaque.

Donc si vous êtes vraiment de bonne humeur, offrez votre plus beau sourire, sinon évitez les sourires de façade ! Prenez exemple sur les commerçants parisiens... hein, mais non, je ne l'ai pas dit...

Sciences et Avenir nous rapporte la découverte dans le nord du Brésil d’une équipe d'entomologistes : un grillon fossilisé, qui présente des caractéristiques presque similaires aux insectes actuels.

Ce grillon aurait vécu voilà cent millions d’années à une époque où les dinosaures régnaient sur Terre et où l'Afrique et l'Amérique du Sud ne constituaient qu'un seul et même continent. 

Il existe au Bahrein, un pays situé dans le golfe Persique, un arbre absolument unique. Baptisé “Sharajat-al-Hayat” (autrement dit “L’Arbre de Vie”), il s’élève seul au coeur du désert, au sommet d’une colline sableuse, à 2 km environ de Jebel Dukhan, le lieu le plus haut du Bahrein. 

Le végétal est vieux de 400 ans environ et mesure une dizaine de mètres de haut. Mais ce qui le rend extraordinaire, c’est qu’il survit miraculeusement dans des conditions difficiles sans qu’on sache d’où provient sa source d’eau.

Les experts qui sont venus examiner l’arbre sont perplexes. La théorie la plus répandue voudrait que les racines de l’arbre plongent très profondément dans le sol, vers des sources aquatiques encore inconnues. Mais rien n’est venu prouver cette thèse pour le moment.

Pour les habitants du coin, l’arbre doit sa longévité à Enki, une divinité de l’eau chez les Sumériens, et il marquerait l’emplacement du Jardin d’Eden.
Très logiquement, il attire les touristes mais les visiteurs, peu respectueux du lieu, ont déjà souillé l’arbre, gravant leur nom dans l’écorce ou taguant les branches. Désolant…

Une étude américaine publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences a démontré que les personnes qui pratiquent une marche rapide trois fois par semaine à partir de 55 ans répondent mieux aux tests de mémoire et augmentent la taille de leur hippocampe.

Je rappelle qu’il ne s’agit pas d’un animal familier, mais de cette région du cerveau qui joue un rôle primordial dans la mémoire. Chez tous les humains, l'hippocampe s'atrophie avec l’âge, d’environ 1 à 2 % par an et encore plus lorsqu’on l’on perd la raison. 

Or, il semblerait d’après l’étude que ce phénomène a priori irréversible s’inverse justement chez les marcheurs âgés (40 minutes trois fois par semaine). Des exercices cardiovasculaires pendant un an, même modérés, pourraient donc accroître la taille de cette structure cérébrale.
C'est aussi la preuve que le cerveau, à ce stade de vieillissement, resterait modifiable.

Source : New York Times