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  • Une mangouste rarissime découverte à Madagascar

    _49457364_vontsira-1.jpgUne nouvelle espèce de carnivore a été découverte à Madagascar. Ce mammifère, de la taille d’un chat, appartient à la famille des mangoustes, des animaux qui se trouvent uniquement dans l’océan Indien. 

    Ce petit animal, baptisé Salanoia durrelli, a été repéré près du lac Alaotra, le plus grand de l'île. Cela faisait 14 ans que l'on n'avait pas découvert d'animal carnivore à Madagascar.

    Selon les scientifiques, l'espèce pourrait presque être considérée comme éteinte :  il s'agit sans doute de l'espèce de carnivore qui compte le moins d'individus et qui est l'une des plus menacées, du fait d'un habitat ayant souffert de l'ensablement et de la pollution.

    Seuls de rapides efforts de conservation pourraient permettre à cette mangouste de ne pas s'éteindre complètement.

    Source : Maxisciences

    PS. Merci à Thibault pour m'avoir indiqué une erreur à la fin du texte.

  • Des milliers de nouvelles espèces marines

    Les espaces marins sont encore peu connus. Un projet s'étendant sur dix ans (www.coml.org) a permis de recenser plus de 6000 nouvelles espèces marines, essentiellement des crustacés et des mollusques.
    Ce programme devrait également contribuer à mieux connaître l'impact de certaines menaces comme la surpêche de la morue et du thon, les différents types de pollution ou le réchauffement climatique.

    Puffin.jpgPas moins de 2700 experts dans 80 pays ont oeuvré de concert pour découvrir plus de nouvelles espèces que prévu, des mers arctiques aux flancs volcaniques de certains fonds marins.

    Parmi les découvertes figurent notamment des créatures telles qu'un "crabe yéti" aux pinces poilues, un poisson lumineux vivant dans les profondeurs marines, une espèce de crevette que l'on croyait éteinte depuis la période jurassique ou un calmar de sept mètres de long.
    De même, les chercheurs ont découvert un puffin (oiseau de mer) qui parcourt 64 000 km tous les ans, soit la plus importante migration connue.

    Aujourd'hui, on connait 250 000 types d'animaux ou de végétaux dans les océans. Les scientifiques estiment qu'il en reste environ 750 000 (!) à découvrir, notamment dans les étendues inexplorées de l'Arctique, de l'Antarctique ou de la partie orientale du Pacifique.
    En outre, la plus grande partie du plancher marin n'a toujours pas fait l'objet du moindre prélèvement. Pour chaque espèce que nous connaissons, trois autres restent à découvrir.

    Source : Reuters
    Photo : un puffin fuligineux

  • Un nouveau cachalot géant ... fossilisé

    Leviathan6melvillei_0.jpgC'est un monstre marin préhistorique que l'on a découvert en 2008 sur les côtes péruviennes. Les paléontologues l'ont décrit cette année dans la fameuse revue Nature, à partir de son crâne fossilisé. Ce véritable "monstre marin" était probablement un redoutable prédateur.

    La découverte sporadique de dents gigantesques suggérait aux spécialistes l’existence d’un grand cétacé carnassier dans les eaux du Miocène. L’identité de ce titan vient d’être dévoilée par une équipe internationale : il s’agit d’une nouvelle espèce de cachalot fossile, la plus grande à ce jour, qu’ils ont baptisée Leviathan melvillei en l'honneur d'Herman Melville, l’auteur de Moby Dick.

    Seuls le crâne long de 3 mètres, les mandibules et les terribles dents – 36 cm de longueur pour 12 cm de diamètre ! – ont été mis au jour, mais les chercheurs estiment sa taille entre 13,50 m et 17,50 m.

    Ce super prédateur hantait les profondeurs il y a 12 à 13 millions d’années, partageant son habitat avec de nombreuses baleines à fanons dont il se nourrissait peut-être. Ses dents, présentes également sur la mâchoire supérieure – contrairement aux cachalots actuels, qui n’en ont que sur la mâchoire inférieure – lui permettaient d’infliger de profondes morsures, arrachant d'impressionnantes bouchées à des proies qui ne devaient pas moins l'être. On ignore pour l’instant les causes de la disparition de cette espèce.

    Source : Maxisciences

  • Disparition des dinosaures : la vérité !

    Vous pensiez que les dinosaures avaient disparu à cause de la chute d'une météorite ou à la suite d'une maladie contagieuse ? Que nenni ! En fait, ils n'ont pas su s'adapter à une ère de glaciation...
    Dubitatif ? Regardez ce petit film d'animation qui va bouleverser toutes vos convictions !  ;-)

  • La vie serait née dans la glace

    Et si la vie était apparue dans les glaces plutôt que dans les océans ?
    Etrange thèse... En tout cas, c'est celle que développent certains scientifiques.

    Lire l'article complet sur Slate.fr

  • Une musaraigne inconnue au Kenya

    shrew.jpgOn vient de filmer un étrange animal dans la forêt de Boni-Dodori dans le Nord-Est du Kenya. Il s'agit d'un sengis, une sorte de musaraigne au long nez flexible comme la trompe d'un éléphant.

    On connaît actuellement 17 espèces de ce petit animal qui serait en fait, sur le plan génétique, plus proche de l'éléphant (!) que de la musaraigne. Le sengis fait partie de la famille des afrothériens qui est relative à d'autres mammifères africains.

    shrew 2.jpgCes images sont en tout cas très rares et les biologistes vérifient si c'est bien une nouvelle espèce de sengis. Ils insistent au passage sur la nécessité de protéger ces uniques forêts côtières, difficiles d'accès et mal connues.

    Ci-dessous une vidéo d'un sengis connu prise dans un zoo.

    Source : Daily.co.uk

  • Une tomate géante en Haute-Garonne

    201008171133_w350.jpgToutes nos félicitations à Jean-Luc Massot, un habitant de Quint-Fonsegrives (Haut-Garonne) qui a cueilli ce magnifique spécimen de tomate dans son potager en août 2010 

    Cette tomate, d'un poids de 1,6 kg, fait partie d'une récolte exceptionnelle, qui va permettre à Jean-Luc de remplir sa réserve de conserves, afin de préparer poissons, escargots et gibiers durant la saison d'hiver.

    Membre du club de pétanque les «Boules Joyeuses», chasseur et fin pêcheur, Jean-Luc est également un passionné de jardinage, auquel il consacre une bonne partie de son temps libre. Cet amoureux de la nature n'hésite pas à faire des kilomètres pour aller cueillir champignons, asperges sauvages ou ramasser des escargots.

    Source : La Dépêche
    Crédit photo : DDM

  • De nouvelles espèces au fond de l'océan

    un-autre-enteropneuste-trouve-a-2-700-metres-de-profondeur_16287_w460.jpgUne dizaine de nouvelles espèces aux couleurs vives et aux formes surprenantes ont été découvertes dans les profondeurs de l'océan Atlantique, à l'occasion d'une mission scientifique ayant utilisé les dernières innovations technologiques en matière de plongée.

    Selon les scientifiques du programme de recherche international à l'origine de leur découverte, plusieurs de ces créatures pourraient constituer les "chaînons manquants" entre vertébrés et invertébrés. Les chercheurs ont ainsi collecté des entéropneustes, proches cousins des annélides.

    Ces vers appartiennent à un petit groupe d'animaux proches du chaînon manquant entre vertébrés et invertébrés. Ils n'ont pas d'yeux, pas d'organes des sens différenciés ou de cerveau, mais possèdent une tête et une queue et le schéma archaïque d'un animal vertébré.

    Source : Maxisciences

  • Pour vivre mieux, faites des blagues !

    FunnyAnimals.jpgC'est une étude norvégienne qui l'affirme : lorsqu'on a le sens de l'humour, on vit plus âgé. Selon les chercheurs norvégiens (un pays d'ailleurs réputé pour son humour ??), les personnes ayant le sens de l'humour auraient une espérance de vie plus importante (jusqu'à 20%) que celle avouant ne pas avoir d'humour.

    Cette étude scientifique, publiée dans l’International Journal of Psychiatry in Medicine, a été mesurée grâce à un test en trois questions permettant d’estimer la manière de penser de façon humoristique et de comprendre les plaisanteries. 53 500 personnes y ont participé sur sept ans.

    Malgré tout, après 65 ans, la prédisposition génétique et les facteurs biologiques du vieillissement deviennent de plus en plus importants. Selon les chercheurs norvégiens (de joyeux drilles apparemment), l'humour peut s'apprendre et s'améliorer avec de la pratique (ah bon ?).

    Source : Europe 1

  • On a repéré la zone de la peur

    Scoubidoo_002.jpgDes scientifiques israéliens auraient découvert la zone du cerveau qui héberge la peur. Ils ont étudié la réaction du cerveau confronté à l’ophidiophobie, c'est-à-dire la peur des serpents.
    Pour cela, ils ont scanné le cerveau de volontaires atteints ou pas de cette phobie alors qu’ils observaient soit un ours en peluche soit un serpent vivant passant devant leurs yeux.

    Juste en pressant un bouton, l’ours ou le reptile pouvait s’approcher ou s’éloigner des participants. Les scientifiques ont alors découvert que lorsque les volontaires souffrant de la peur des serpents étaient assez courageux pour approcher le serpent d’eux, une zone du cerveau s’éclaircissait sur le scan. Il s'agit du cortex cingulaire, qui contrôle les émotions.

    Les chercheurs espèrent que cette découverte permettra le développement de remèdes contre des phobies qui peuvent handicaper la vie de certaines personnes. Ils redoutent aussi que cette découverte soit mal utilisée, notamment en supprimant toute peur dans le comportement des militaires notamment.

    Source : Zigonet

  • Une montagne sous l'Antarctique

    Une équipe de scientifiques vient de publier des images détaillées des montagnes Gamburtsev, une chaîne de montagnes située sous l’Antarctique.

    Découvertes voici cinquante ans environ, les montagnes Gamburtsev, d’une longueur de 1200 kilomètres, s’élèvent à plus de 2400 mètres de hauteur et sont enfouies sous une couche de glace de plus de 1,6 kilomètre d’épaisseur.

    Les images révèlent des paysages avec des sommets très proéminents, des rivières profondes et des lacs d’eau liquide… enfouis sous le pergélisol. Pour parvenir à constituer ces images, une équipe de sept scientifiques a été mobilisée durant deux mois. Ils ont récolté une énorme quantité d’informations, à l’aide d’équipements ultra sophistiqués. Reste désormais à les interpréter.

    Source : Maxisciences

  • Mieux qu'un café, la nature !

    CIMG1810.JPGDes psychologues de l'université de Rochester (Etats-Unis) affirment que passer 20 minutes en pleine nature aurait le même effet stimulant qu'une tasse de café. Selon eux, la nature "est le carburant de l'âme" et à son contact, l'homme se sentirait plus vivant. Le contact direct avec la nature aurait un effet stimulant et revitalisant.

    Et nul besoin de pratique une activité, ne rien faire au grand air serait suffisant. L'étude, menée sur 537 étudiants volontaires, a démontré que les étudiants qui avaient le plus d'énergie étaient ceux se représentant à l'extérieur et que 20 minutes dans la nature suffisaient à les redynamiser.

    Mon commentaire : franchement, tous ceux qui aiment bien faire de la randonnée, voire un pique-nique en famille ont éprouvé ce sentiment très agréable. Pas besoin de faire une étude pour s'en rendre compte, si ? Et le top du top, c'est de boire son petit café dans une clairière au milieu d'un bois :-)

    Photo : J.