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disparition

  • Disparition des dinosaures : la vérité !

    Vous pensiez que les dinosaures avaient disparu à cause de la chute d'une météorite ou à la suite d'une maladie contagieuse ? Que nenni ! En fait, ils n'ont pas su s'adapter à une ère de glaciation...
    Dubitatif ? Regardez ce petit film d'animation qui va bouleverser toutes vos convictions !  ;-)

  • Et si la mer Morte disparaissait d'ici quarante ans ?

    dead_sea_sunset.jpgLa mer Morte, cette étendue d'eau la plus salée du monde, située entre la Jordanie et Israël, est menacée d'assèchement. A tel point qu'elle pourrait être réduite à une simple mare d'ici les quarante prochaines années. Le niveau de cette mer diminue d'un mètre par an et à certains endroits, son rivage a reculé de plus d'un kilomètre.

    La mer Morte est victime de l'activité humaine et des tensions politiques régionales qui font obstacle à sa préservation. Le détournement des cours d'eau qui l'alimentent est la première cause de cet assèchement. Le Jourdain, son principal affluent, a été détourné par la Syrie, la Jordanie et Israël, à des fins agricoles et pour les besoins industriels. 95% du flux total du Jourdain est ainsi capté tandis que le niveau des nappes phréatiques diminue lui aussi.

    0416_A67.jpgL'activité touristique, de même que le réchauffement climatique qui influe sur la pluviométrie de la région, l'une des plus arides du monde, s'ajoutent au problème et menacent d'un assèchement total la mer Morte, qui pourrait disparaître d'ici l'année 2050.

    Comme le déplore l'hydrologue Doureid Mahasneh : "C'est très grave et personne ne fait rien pour la sauver". Pour l'instant, la Jordanie est seule à réaliser un projet pourtant conçu avec Israël et l'Autorité palestinienne. Ce projet de deux milliards de dollars consiste à acheminer l'eau de la mer Rouge vers la mer Morte, mais certains spécialistes redoutent que cette solution ne perturbe irrémédiablement l'équilibre de ce lac salé unique.

    Source: Maxisciences
  • Cri d'alarme : 1/3 des mammifères menacés d'extinction

    Tigre blanc.jpgLa moitié des espèces de mammifères sont en déclin et probablement un tiers sont menacées d'extinction, selon la "liste rouge" des espèces menacées publiée par l'Union mondiale pour la nature (UICN), à Barcelone.

    Dans cette étude, la plus complète jamais réalisée sur le sujet, les experts de l'UICN confirment la gravité de la crise actuelle : une espèce de mammifère sur quatre est en danger de disparition, soit 1141 sur 5487 espèces recensées. Mais la réalité pourrait s'avérer pire encore en raison d'un manque d'informations concernant 836 mammifères, a averti l'organisation. Pour les scientifiques, l'absence d'informations concernant une espèce est généralement de mauvais augure.

    Ces résultats donnent une image très sombre de la situation globale des mammifères dans le monde. Au moins 76 espèces de mammifères ont déjà disparu depuis l'an 1500. La crise actuelle est considérée comme celle de la sixième grande période d'extinction des espèces, la précédente ayant été celle de la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années.

    Source : AFP, Barcelone, Emmanuel Angleys.

    > En 2005, l'Internaute avait publié la liste de 10 espèces très menacées.

  • L'homme a failli disparaître il y a 70 000 ans !

    L'humanité aurait frôlé l'extinction il y a 70 000 ans : la population des premiers humains aurait pu diminuer au point de ne plus compter que 2000 individus avant de recommencer à croître au début de l'âge de pierre, selon une étude génétique publiée fin avril 2008.

    «Cette étude illustre l'extraordinaire capacité de la génétique à révéler des aspects de certains des épisodes clés de l'histoire de notre espèce», souligne dans un communiqué Spencer Wells, directeur du Genographic Project, lancé en 2005 pour étudier l'anthropologie à l'aide de la génétique.

    «De minuscules groupes d'hommes primitifs, séparés par des conditions environnementales difficiles, revenant du bord du gouffre pour se retrouver et peupler le monde. Un drame épique inscrit dans notre ADN», résume le chercheur, membre de la National Geographic Society.

    Des études précédentes utilisant l'ADN mitochondrial, transmis par la mère, ont permis de faire remonter l'homme moderne à une unique «Eve mitochondriale» ayant vécu en Afrique il y a 200 000 ans. Les humains auraient commencé à quitter l'Afrique pour peupler le reste du monde il y a 60 000 ans, mais on sait peu de choses à leur sujet dans la période comprise entre cette Eve originelle et cette grande migration.

    Les travaux conduits par Doron Behar, du Centre médical Rambam à Haïfa, en Israël, et Saharon Rosset, du centre de recherche d'IBM T.J. Watson dans l'État de New York, concluent que les humains se sont séparés en petits groupes avant l'âge de pierre, période durant laquelle ils se sont rassemblés et ont commencé à voir leur nombre augmenter et à gagner d'autres régions. (...) Aujourd'hui, la population mondiale s'établit à 6,6 milliards de personnes, selon le bureau du recensement américain.

    Source : AP, Washington. 

  • Un lac peut disparaître en quelques heures

    Rappelez-vous, en 2005, je vous parlais d'un lac russe qui avait mystérieusement disparu en l'espace d'une nuit. Peut-être faut-il effectuer un rapprochement avec cette étrange affaire de 2007 concernant la volatilisation d'un autre lac, cette fois-ci au Chili.

    af3bc8e634efd8e765929fa2e3ffc4e6.jpgUne équipe de scientifiques chiliens avait fait cette surprenante découverte le 27 mai 2007pendant un déplacement dans la zone du fjord Tempanos, situé à la limite des régions australes d'Aysen et de Magallanes, dans le parc national Bernardo O'Higgins.

    "Ils se sont trouvés devant une formidable surprise: le lac avait disparu, purement et simplement. Et nous ne parlons pas d'un petit lac, mais d'un assez grand", a raconté le directeur régional du corps des gardes forestiers chiliens (Conaf), Juan José Romero, à la radio Cooperativa. L'assèchement du lac a provoqué une forte diminution du débit d'une rivière de la Patagonie chilienne à 2 000 km au sud de Santiago.

    En fait, la soudaine disparition du lac chilien en Patagonie serait un phénomène naturel assez "fréquent" mais très rarement observé, ont affirmé ensuite des experts à Santiago.

    Cette disparition n'est pas "une nouveauté" explique à l'AFP, Carlos Palacios, un géologue de l'université du Chili."C'est assez fréquent en Patagonie. Seulement on arrive rarement à l'observer à cause de la faible population" de la Patagonie, ajoute le scientifique.

    "C'est un processus local qui n'a rien d'inhabituel. Je ne dis pas que cela survient tout les jours, mais, comme ces lacs se forment dans une zone dynamique, ils peuvent se vider par les mouvements de la glace", affirme à l'AFP, le glaciologue, Andres Rivera, du Centre d'études scientifiques de Valdivia (sud).

    La disparition du lac, selon M Palacios, "serait due à la pression des réserves d'eau sur une sorte de mur de retenue formé par la glace et les roches qui, en cédant, a provoqué une forte crue puis un écoulement massif de l'eau".

    Source : AFP, Santiago du Chili. 

  • Un homme réapparait cinq ans après sa disparition

    Un Britannique qui avait disparu il y a plus de cinq ans alors qu'il faisait du canoë au large des côtes nord-est de l'Angleterre s'est présenté samedi 1er décembre dans un commissariat londonien. John Darwin, 57 ans, n'avait plus donné de nouvelles depuis mars 2002.

    L'épave de son canoë avait été retrouvée sur une plage près de la ville de Hartlepool. Les recherches lancées par la Royal Navy et la police pour le retrouver n'avaient rien donné.

    On ignore toujours ce que Darwin, marié et père de deux enfants, a fait pendant ces cinq années.

    Source : Reuters

    L'auteur du blog : si vous avez un début de piste, vous pouvez le suggérer dans les commentaires :-)

  • Près d'un tiers des singes devraient disparaître

    Près d'un tiers des singes sont menacés d'extinction en raison de la destruction des forêts tropicales, du commerce d'animaux sauvages et de la chasse, s'est alarmée l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    Pour la première fois depuis un siècle on assiste aux premiers cas de disparition de singes, a averti le rapport écrit par soixante experts de vingt et un pays. Cent quatorze primates parmi les 394 espèces mondiales sont menacés d'extinction et ont été placés sur la liste rouge de l'UICN, soit 29% de la population mondiale de singes, note le rapport.

    Parmi eux, le colobe bai de Miss Waldron, qui vivait en Côte d'Ivoire et au Ghana, a peut-être déjà disparu. Le loris grêle de Horon Plains, habitant du Sri Lanka, n'a été aperçu que quatre fois depuis 1937. Le langur de Cat Ba du Vietnam et le gibbon de Hainan (Chine) ne comptent plus qu'une douzaine de représentants.

    Le changement climatique ajouté à l'incapacité de faire face aux différentes menaces comme la chasse ou la destruction de leur habitat dû à l'urbanisation sont la cause du danger d'extinction, ajoutent les experts.

    "C'est en Asie où la destruction des forêts tropicales, la chasse et le commerce de singes placent les espèces face à un risque terrible, que la situation est la pire.", a indiqué Russell A. Mittermeier, président du groupe de spécialistes sur les primates à l'UICN. Une liste plus restreinte de vingt-cinq espèces les plus menacées a été dressée par l'IUCN.

    "Vous pourriez placer la totalité des survivants de ces vingt-cinq espèces dans un seul stade de football", a averti Russell Mittermeier. (...)

    Source : AFP (Genève).