A la fin du printemps dernier, Chris Peterson, l'éditeur de Glacier Park Magazine, a mené à bien un projet photographique consistant à prendre des photos du parc national Glacier (Montana) durant 100 jours consécutifs. Il a commencé le 1er mai 2009 et a publié le résultat sur un blog dédié accessible à cette adresse.

Voici deux clichés parmi les cent captés par Peterson. Le site Big Picture a également repris une sélection de ces cent clichés que vous pouvez voir ici en grand format.

Mon commentaire : un travail remarquable et émouvant qui nous montre la nature au plus près et dans toute sa splendeur. C'est Legweak qui va être jaloux ! ;-)

Crédit photos : Chris Peterson

Le littoral japonais est envahi par des méduses géantes qui compliquent le travail des pêcheurs japonais. Il faut dire que ces méduses sont imposantes : leur poids peut facilement atteindre entre 200 et 300 kg pour une taille qui peut aller jusqu’à 2 mètres !

Les filets des pêcheurs nippons n'y résistent pas et le montant du préjudice dû à ces méduses s’élèverait à près de 110 millions de dollars. Selon l'Agence japonaise de la recherche sur la pêche, ce phénomène serait en recrudescence depuis 2005.

Si vous prenez le métro, attendez vous à tout ! Quelle ne fut pas la surprise de Kate Arkless Gray, une jeune femme journaliste, lorsqu'elle s'est retrouvée face à face avec un renard dans le métro londonien !

L'animal est apparu dans la station de métro de Walthamstow Central. Il empruntait l'escalator, comme un usager ordinaire. Réflexe professionnel ou pas, la journaliste a réussi à prendre quelques photos (cliquez dessus pour une vue agrandie) avant que le renard ne tourne les talons, pardon les pattes, pour s'enfuir.

L'animal, qui a probablement dû se faufiler à travers les portes de la station aux alentours de minuit, a obligé les employés à fermer l'accès aux escalators. Il est ensuite remonté à la surface et s'est dirigé vers un arrêt de bus. L'histoire ne dit pas s'il a hélé le chauffeur pour rentrer chez lui :-)

Après l'omelette norvégienne, voici la spirale. Le très curieux phénomène qui s'est déroulé au-dessus de la Norvège était donc l'illustration visuelle d'un tir raté de missile russe. Le magazine en ligne Slate nous explique ce qu'il s'est passé.

Reste qu'il faudrait qu'un expert nous confirme qu'il s'agit bien d'un trace de missile (et pas d'autre chose). Et si c'est le cas, doit-on laisser les Russes s'amuser à tirer des missiles au-dessus d'autres territoires, notamment lorsqu'on connaît l'obsolescence de leur arsenal technologique ?

Une petite expérience très surprenante : vous remplissez une petite bouteille en verre transparent avec de la glycérine. Vous la trempez dans un verre transparent lui-même rempli de glycérine et voyez le résultat... Les contours de la bouteille en verre semblent avoir disparu !

Source : Zigonet, Youtube.

Entre dans la lumière, petite bête ! (jeu de mots nul, mais bon, c'est le week-end...). La luciole, donc. Ou plutôt la famille des lucioles, devrais-je dire, car elle regroupe près de 2000 espèces connues de coléoptères sur tous les continents qui émettent tous de la lumière (jaune à verdâtre).

Bien que l'espèce appartienne aux coléoptères, la femelle ne peut pas voler. D'où le nom de "ver". Les larves des lucioles sont les fameux vers luisants que l'on trouve dans les forêts, les bocages et les landes.

Animal luminescent, la luciole émet une lumière verte au niveau de son abdomen pour pouvoir attirer son partenaire sexuel. En tant que petit prédateur dissimulé sous les feuilles mortes, dans l'herbe et les buissons, la luciole intervient dans son microcosme écologique pour éviter que ne pullulent trop chenilles et escargots.

Sensible à toutes les formes de pollution (pollution lumineuse incluse), la luciole est moins visible qu'autrefois où il n'était pas rare d'apercevoir des groupes de milliers d'individus réunis autour d'une arbre ou près d'un ruisseau. Un phénomène que la tradition a longtemps associé aux lumières des fées. Et qui était surtout signe de bon état de la nature à cet endroit.

De nos jours, pour apercevoir des lucioles, il faut s'éloigner des villes, des zones éclairées artificiellement et des lieux cultivés.

C'est une très sérieuse étude menée par un psychologue de l'université de Manchester qui le révèle : les pieds seraient la partie du corps la plus à même d'exprimer les sentiments.

Le professeur Geoff Beattie en est persuadé : les pieds seraient capables de révéler ce que nous pensons de la personne à qui l'on s'adresse, ainsi que notre état émotionnel et psychologique. En effet, les pieds refléteraient le mieux le langage du corps car nous en aurions le moins conscience.

Par exemple, si une femme éloigne les pieds de son corps lorsqu'elle rit et adopte une position dans laquelle ses jambes sont un peu plus écartées, il y aurait alors de fortes chances qu'elle soit attirée par vous. Au contraire si ses jambes sont croisées, il ne vaudrait mieux pas se risquer à lui faire des avances.

Cependant, ces règles ne s'appliqueraient pas aux hommes qui ne traduiraient pas leur attirance sexuelle par les pieds. Toutefois, un homme infidèle laisserait ses pieds immobiles de manière peu naturelle. Cette enquête a également révélé l'importance que les femmes accorderaient aux chaussures des hommes : elles s'intéresseraient non seulement à la propreté des chaussures, mais également au prix, au style et à leur coordination avec le reste de la tenue.

Source : Zigonet.com

Qu'est-ce que c'est que ce nuage rouge ? En septembre 2002, alors que son avion s'élevait au dessus de la couche de nuages en début de soirée à Minneapolis (Minnesota), le passager Tyler Blessing a pris ce cliché étonnant à travers le hublot. Selon lui, c'étaient des couches arrondies de lumière qui s'étendaient du nuage vers le sol. 

Des experts ont examiné la photo sans pouvoir se prononcer sur cette anomalie aérienne, qui ne ressemble à rien de connu comme les rayons crépusculaires par exemple. Il est possible que ce soit la lumière du soleil réfractée par de la pluie tombante. Ou bien il s'agit seulement d'un reflet atypique sur le hublot de l'avion.

L'image a été prise précisément le 23 septembre 2002 à 8:07 du soir et l'appareil photo était dirigé vers le nord. La forme ovale visible au niveau du sol, dans le coin inférieur droit de la photo est le champ de courses de Canterbury Downs. Si vous avez une idée, partagez-la avec les visiteurs du blog.

Amis lecteurs,

Alors que mon blog fait l'objet d'étranges (sic) visites depuis quelques jours, je me permets de vous rappeler quelques règles qui prévalent sur cet espace.

- Propos politiques, religieux, provocateurs ou insultants sont prohibés. Je ne soutiens aucune forme de censure et laisse dans la mesure du possible à chacun le droit de s'exprimer, mais je supprimerai systématiquement tout commentaire entrant dans ces catégories et je bannirai son auteur. Si vous voulez faire du prosélytisme ou déverser votre rancoeur, allez voir ailleurs sur le web.

- Idem pour les petits malins du référencement et autres spammeurs : sachez que je vous ferai la chasse impitoyablement (pourtant, une pratique peu appréciée sur ce blog).

Pour tous les autres visiteurs et fort heureusement, vous êtes une très large majorité, vous êtes les bienvenus :-)
N'hésitez pas à donner votre avis, si possible dans une langue lisible par tous et faites-nous profiter de vos réflexions.

Bon, ça c'est fait :-)

J.

Dernièrement, je me faisais la remarque que cet automne, on a peu entendu parler de cyclones et d'ouragans au Mexique et aux Etats-Unis comme les années précédentes. En fait, selon un article de la Tribune.fr, il y aurait eu beaucoup moins de catastrophes naturelles en 2009.

Selon la traditionnelle enquête Sigma du grand réassureur Swiss Re, le coût et le nombre de morts causés cette année par les catastrophes naturelles est en fort recul. Il en ressort qu'en 2009, leur coût pour les assureurs a été réduit de moitié à 24 milliards de dollars (15,96 millards d'euros). Grâce notamment à une saison des ouragans plus "calme" aux Etats-Unis. Le coût total des dégâts est passé en un an de 267 (quasi record) à 52 milliards. "En 2009, nous n'avons pas vu de tels évènements comme l'ouragan Katrina, qui a causé 71 milliards de dollars de pertes en 2005. Nous avons été chanceux, mais cela ne sera peut-être pas le cas l'an prochain" a souligné le chef économiste de Swiss Re. Aïe, serait-ce un répit avant la fin du monde en 2012 ? :-)

On peut donc se réjouir de cette accalmie. Cette année, les catastrophes naturelles et techniques ont tué 12 000 personnes (contre 240 000 en 2008),  soit l'un des chiffres les plus bas de ces vingt dernières années. Malgré tout, l'Asie a souffert des aléas climatiques et des colères de la terre. Tempêtes, inondations, séismes... Le tremblement de terre enregistré en septembre en Indonésie a fait à lui seul plus de 1000 morts, et les typhons d'août à octobre ont causé plus de 2000 décès. En France, c'est la tempête Klaus qui a ravagé aussi l'Espagne en janvier qui a été la catastrophe naturelle la plus coûteuse pour les assureurs.

Source : Tribune.fr

Le titre est un peu exagéré, je le reconnais, mais sinon liriez-vous cette news ? :-)
Il s'agit d'une chauve-souris qui a effectué le trajet Lettonie-Suisse en un temps record. On l'a découverte lors du démontage d'une horloge solaire en Suisse et on a pu l'identifier comme faisant partie de l'espèce des pipistrelles de Nathusius.
Grâce à la bague que l'animal portait (venant de Pape, ville de Lettonie), on a estimé que la chauve-souris avait parcouru 1 360 kilomètres en seulement 28 jours ! Soit une moyenne de 50 kilomètres par nuit, un record pour un animal qui ne pèse, rappelons-le, que 8 grammes !

Vous connaissez Paul Nicklen ? C'est un photographe du National Geographic qui a grandi au Canada où il a appris à survivre en Arctique. Passionné d’animaux, de plantes et de paysages, il a travaillé pendant quatre ans comme biologiste, étudiant la faune et la flore qui le passionnent. Pendant cette période, il a étudié des espèces comme le grizzly, le caribou ou l’ours polaire avant de s'engager dans une expédition en solitaire de trois mois, au cœur de l'Arctique. Cette photo qui le montre en train de plonger sous la banquise fait vraiment froid dans le dos, non ?

De retour de ce périple, Nicklen devient journaliste photographe animalier, avec pour but de faire parler de cette faune menacée qui lui tient tant à coeur. Dans son dernier livre, Polar obsession, il rappelle avec des images impressionnantes, comme ce splendide portrait d'un ours polaire, l’urgence de la situation aux pôles. En effet, selon certains scientifiques, la glace des pôles aura intégralement disparu dans un siècle, provoquant du même coup la disparition de nombreuses espèces animales endémiques de ces régions

Dans cette vidéo, Paul Nicklen raconte sa rencontre face-à-face avec un léopard de mer, l'un des prédateurs marins les plus dangereux. Même si vous n'êtes pas familier avec l'anglais, les images parlent d'elles-mêmes !