On connaissait Oum le dauphin qui avait fait les beaux jours du chocolat blanc Galak. Voici un autre animal lui aussi tout blanc : ce gros pataud s'appelle Bouya Blan et malgré son air de vieux sage, il n'a que 22 ans. C'est l'un des douze alligators blancs répertoriés sur la planète. Contrairement à d'autre animaux de couleur blanche, Bouya Blan n'est pas un alligator albinos. Il souffre juste d'une dépigmentation de la peau.
Bouya Blan vit en Floride, dans le Gatorland Theme Park, où il a le privilège de disposer d'un enclos privatif qui le protège du soleil.

Après le poisson psychédélique, évoqué il y a quelques jours, voici une autre créature aquatique tout aussi étonnante. Des scientifiques ont en effet filmé un poisson des grandes profondeurs au crâne transparent. Bruce Robison et Kim Reisenbichler, deux scientifiques du Montery bay aquarium research institute (Mbari), viennent de dévoiler une vidéo et des photos surprenantes : on y découvre Macropinna microstoma, un poisson des grandes profondeurs au crâne transparent, capable de regarder à travers sa propre tête. 

Au cours des temps, l'évolution a permis à ce poisson de s'adapter remarquablement à son environnement : ses yeux se sont développés à l'intérieur de sa tête, pour se protéger de la pression régnant aux profondeurs où il évolue (600 à 800 mètres sous la surface de l'océan).

Pour lui permettre d'observer ce qui se passe devant, mais surtout au-dessus de lui (où la lumière du soleil pénètre encore), la partie supérieure de son crâne est devenue transparente. Les deux boules vertes visibles sur les photos ou la vidéo sont ses yeux contrairement aux "trous" situés à l'avant de l'animal, qui sont des organes de l'olfaction semblables aux narines chez l'Homme. 

Source : Maxisciences 

Les scientifiques s'inquiètent de l'explosion de la population de Turritopsis nutricula, une méduse potentiellement immortelle, à travers les océans du globe. Cette méduse, qui mesure à peine 5 millimètres, est à ce jour le seul organisme connu capable de retourner à sa forme juvénile après avoir été sexuellement mature, grâce à un mécanisme cellulaire nommé "transdifférenciation".

De nombreux biologistes marins, qui tentent de percer les secrets de cet animal capable d'inverser son processus de vieillissement, pensent aujourd'hui que cette faculté a entraîné une augmentation inquiétante du nombre de représentants de cette espèce à travers les eaux marines du globe. Le Dr Maria Miglietta, du Smithsonian Tropical Marine Institute déclare : "Nous sommes en train d'assister à une invasion mondiale silencieuse."

Source : Maxisciences

Le photographe Norbert Rosing se trouvait dans la baie d'Hudson (Canada) lorsqu'un ours est venu rendre visite à ses chiens husky. 

Cette amusante petite bestiole de prime abord recèle bien des surprises : en effet, sa salive est empoisonnée ! Ressemblant à des musaraignes géantes, les solenodons sont des animaux en voie d'extinction très rarement observés. D'une grande valeur scientifique car très proches des mammifères primitifs qui évoluaient sur la Terre des dinosaures, ces animaux possèdent des caractéristiques surprenantes comme celle de produire une salive empoisonnée, s'écoulant par des sillons parcourant leurs secondes incisives inférieures. Une caractéristique qui en fait un des rares mammifères venimeux au monde !

Lors d'une campagne de recensement des populations animales sur l'ile d'Hispaniola (Haïti/République Dominicaine), l'association de protection de la nature Durrell Wildlife Conservation Trust a étudié et filmé un solenodon. Après un bilan de santé et un prélèvement ADN, l'animal a été relâché dans son habitat naturel.

Source : Maxi-Sciences 

Des scientifiques ont découvert dans l'archipel des Galapagos (au large de l'Equateur) une nouvelle espèce d'iguanes, l'iguane rose. Une race encore inconnue qui avait échappé à Darwin, le premier scientifique à avoir formulé une théorie de l'évolution. 

Alors qu'il avait visité l'archipel des Galapagos en 1835, Charles Darwin n'avait pas rencontré cette espèce d'iguane. Bien qu'ils aient déjà été aperçus en 1986, ces animaux passaient auparavant pour des curiosités de la nature.

C'est grâce à une équipe de scientifiques italiens que l'on a pu identifier le fameux iguane rose. Des échantillons de sang de ces animaux ont été collectés, prouvant qu'ils sont les représentants d'une espèce à part entière très rare.

Le cheval à la queue la plus longue du monde

Avec une queue mesurant 3,81m, Summer Breeze est entré dans le livre Guiness des records comme le cheval à la queue la plus longue de l'histoire. Crystal Socha, 26 ans, sa propriétaire, lui coiffe la queue et la shampouine tous les deux mois, une opération qui lui prend près de trois heures à chaque fois. Chaque crin a la consistance d'un fil de pêche.

Selon Crystal, le cheval âgé de 11 ans est né avec une queue de taille normale. Mais en vieillissant, sa queue a continué à pousser. Cette longueur anormale n'est pas sans conséquences : la jument se retrouve fréquemment à mâchouiller sa queue alors qu'elle est en train de manger, les crins traînant jusque dans sa mangeoire.

Un cheval grand... comme un chien

Eh non, il ne s'agit pas d'un poney, mais bien d'un cheval, certes de petite taille mais un cheval quand même ! :-)

Il s'agit bien d'un calamar, dit "Magnapinna", filmé par le robot submersible d'une société de forage pétrolier à 2500m de profondeur. Mais l'animal est suffisamment étrange pour qu'on se demande s'il vient bien de notre planète !

Voir la vidéo sur le site de National Geographic

Sainte-Hélène, petite île perdue dans l'Atlantique sud, est surtout connue pour avoir été l'endroit où est mort l'empereur Napoléon 1er. Le journal local nous apprend que l'île célèbre en ce moment le 176ème anniversaire de son plus vieil habitant :  la tortue Jonathan, toujours bien présente sur la pelouse de Plantation House. L'animal est arrivé à Sainte-Hélène en... 1883 et serait né vers 1832. Ce qui ne nous rajeunit pas !
La tortue n'aurait pas pu rencontrer Napoléon, mais si elle était arrivée avant 1840, elle aurait pu assister à son exhumation et au retour des Cendres vers la France.

Source : The St Helena Independent, 5 déc. 2008, repris par www.napoleon.org

Un habitant de Changchun (Chine), M. Cao, a cassé un oeuf pour se faire à dîner et y a découvert un poussin ayant quatre pattes. Il avait acheté les oeufs quatre (!) mois auparavant et l'un d'entre eux contenait un poussin vivant ayant quatre pattes au lieu de deux.

"Les gens disaient qu'il ne survivrait pas, mais je m'en suis occupé et il a magiquement grandi en bonne santé", raconte Mr Cao au journal People's Daily.

Si les autres poulets avaient beaucoup de mal à l'accepter, il a grandi plus vite que les autres et est devenu le chef de la basse-cour. "Mes voisins l'appellent le roi aux quatre jambes" ajoute Mr Cao.

Décidément, la Chine n'en finira pas de nous étonner !

Selon Futura-Sciences, l'un des grands mystères de la Nature vient d'être résolu. Grâce à une caméra ultrarapide, on peut enfin visionner le décollage en catastrophe d'une mouche drosophile menacée par un danger. On la voit utiliser ses pattes comme un ressort orientable et se projeter dans l'air avant de commencer à remuer les ailes. Comme l'indique l'article, c'est une "manœuvre complexe et même acrobatique".

Cette grenouille aquatique, qui porte le nom savant de Barbourula kalimantanensis, a été identifiée au cours d'une expédition en août 2007 dans la province de Kalimantan sur l'île de Bornéo. Elle a pour particularité d'être dépourvue de poumons et de respirer par la peau.

Selon les scientifiques, il s'agit de la première grenouille connue sans poumon, une caractéristique qu'elle partage notamment avec quelques espèces de salamandres. Un biologiste l'avait aperçue voici trente ans et la recherchait depuis lors. Cinq expéditions précédentes destinées à la trouver avaient échoué.

Graeme Gillespie, des Zoos Victoria en Australie, qui a examiné huit spécimens mais n'a pas participé à l'expédition, estime que la grenouille est "unique sur le plan de l'évolution". Tous les scientifiques s'accordent pour dire qu'il est urgent de protéger l'écosystème aquatique où vit la grenouille, menacé par la pollution provenant de deux activités illégales: la déforestation et l'extraction de l'or. Mais pour l'animal, il est peut-être déjà trop tard.

Source : AP, Bangkok.