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dinosaure

  • Disparition des dinosaures : la vérité !

    Vous pensiez que les dinosaures avaient disparu à cause de la chute d'une météorite ou à la suite d'une maladie contagieuse ? Que nenni ! En fait, ils n'ont pas su s'adapter à une ère de glaciation...
    Dubitatif ? Regardez ce petit film d'animation qui va bouleverser toutes vos convictions !  ;-)

  • Un nouveau dinosaure découvert en Mongolie intérieure

    Toujours les dinosaures avec cette première qui est un sacré coup de pot ! Lors d’une excursion en Mongolie intérieure, des étudiants en paléontologie auraient en effet découvert un squelette d'un nouveau dinosaure qui s’avère être un parent du Velociraptor. Très bien conservé, le spécimen de 2,5 mètres de long était, d'après les premières études de son squelette, un dinosaure rapide et agile qui vivait il y a environ 75 millions d’années,

    Les étudiants américains, Michael Pittman et Jonah Choiniere, ont déclaré avoir trouvé le fossile alors qu’une griffe sortait d’une falaise. Ils l’ont alors soigneusement extirpée et découvert qu’il s’agissait d’une espèce de dinosaure carnivore encore jamais découverte. Un événement rarissime pour la première trouvaille de ces étudiants qui l'ont vécu comme un véritable miracle.   


  • C'est un astéroïde qui a décimé les dinosaures

    On s'en doutait depuis belle lurette, mais désormais c'est confirmé : le coupable de l'extinction des dinosaures il y a 65 millions d'années est bel et bien un gigantesque astéroïde, qui a éradiqué les créatures de la surface de la Terre.

    Espérant clore pour de bon le débat intense sur cette question, un panel international de 41 chercheurs vient de rendre public ce verdict final après avoir étudié vingt ans de données sur ce qui a causé l'extinction du Crétacé-Tertiaire (KT), qui a décimé plus de la moitié des espèces de la planète.

    Les scientifiques ont conclu qu'un astéroïde d'environ 15 kilomètres de large s'était abattu sur Chicxulub dans la province actuelle du Yucatan au Mexique. Selon le journal Science, "l'astéroïde aurait frappé la Terre avec une puissance un milliard de fois plus élevée que la bombe atomique d'Hiroshima". L'événement a constitué un tournant majeur parce qu'il a permis aux mammifères, et donc à l'Homme, de devenir l'espèce dominante sur Terre.

    Certains scientifiques avaient affirmé que les dinosaures et d'autres espèces, comme certains grands reptiles marins, avaient disparu à la suite d'une série d'éruptions volcaniques qui ont sévi pendant 1,5 million d'années dans ce qui est aujourd'hui l'Inde. Ces éruptions ont déversé une quantité de lave équivalente à deux fois le volume de la mer Noire dans les trapps du Deccan, dans le centre-ouest de l'Inde, et auraient provoqué un refroidissement de l'atmosphère et des pluies acides à grande échelle.

    Mais les preuves amassées par les auteurs de l'étude publiée dans Science ont montré que les écosystèmes marins et terrestres avaient été détruits rapidement lors de l'extinction du KT, faisant exclure aux scientifiques l'hypothèse de la responsabilité des volcans dans l'extinction des dinosaures.

    L'impact de l'objet céleste aurait provoqué "des incendies à grande échelle, des séismes d'une magnitude supérieure à 10 sur l'échelle de Richter, et des coulées de boue provoquant des tsunamis", a estimé Joanna Morgan, chercheuse à l'Imperial College à Londres et co-auteur de l'étude.

    L'astéroïde a frappé la Terre 20 fois plus vite qu'une balle de pistolet et a explosé en créant un mélange mortel de roche brûlante et de gaz qui aurait "carbonisé toute créature vivante dans les environs immédiats", a ajouté Gareth Collins, chercheur dans le même institut.

    "Ce qui a fini d'achever les dinosaures, c'est quand des matériaux ont été projetés à grande vitesse dans l'atmosphère", plongeant la planète dans les ténèbres et le froid et tuant les espèces qui ne "pouvaient s'acclimater à cet environnement infernal", a ajouté Joanna Morgan.

    Voir le reportage sur TF1

    Source : AFP

  • Les dinosaures dévoilent leurs vraies couleurs

    dinosaur.jpgLe Monde relate que des scientifiques ont identifié les premières couleurs d'un dinosaure, selon une étude publiée dans la revue Nature. Cette découverte permettrait de mieux connaître l'origine des oiseaux.

    Ainsi, le Sinosauropteryx, un petit dinosaure carnivore bipède vivant voici 125 millions d'années, avait des poils ou soies, précurseurs de plumes, dessinant sur sa queue des anneaux alternativement orange et blancs. Quant à l'oiseau primitif Confuciusornis, contemporain du Sinosauropteryx, il était doté de taches noires, blanches et brun-orange.

    L'équipe sino-britannique de Michael Benton est parvenue à ces résultats en identifiant de minuscules structures renfermant des pigments dans les restes fossilisés de poils. Le point négatif, c'est que la couleur d'autres espèces de dinosaures, semblables aux reptiles et dépourvus de ce type de poil, pourrait s'avérer impossible à révéler par une telle technique. Pas demain donc qu'on connaîtra la couleur exacte du T-Rex !

    En revanche, on sait maintenant que les plumes sont apparues avant les ailes, et qu'elles n'ont donc pas été créées comme structures pour voler, ni comme isolant thermique. Sans doute étaient-elles d'abord des armes de séduction ou pour effrayer les prédateurs, avant que l'évolution ne s'en mêle...

    Source : Le Monde, AFP.

  • Les dinosaures étaient plus petits qu'on ne le pense

    Les dinosaures n'étaient pas aussi grands que ce que les scientifiques pensaient. En effet, la méthode utilisée pour estimer leur masse serait erronée, et leur taille a probablement été surévaluée. Les chercheurs pensent que la première estimation de la masse de l'Apatosaurus louisae, l'un des plus grands dinosaures connus, serait le double de sa véritable masse. Au lieu de 39 tonnes, Apatosaurus pèserait à peine 18 tonnes.

    « Pendant 25 ans, les paléontologues ont utilisé un modèle statistique pour estimer le poids des dinosaures géants et d'autres grands animaux de lignées disparues » explique Gary Packard, directeur de recherche à l'université du Colorado. « En réexaminant les données de l'échantillon de référence initial, nous avons montré que le modèle statistique est sérieusement erroné et que les dinosaures étaient probablement deux fois moins lourds que ce que l'on croyait ».

    L'échantillon de référence est constitué de 33 espèces de mammifères quadrupèdes classés selon leur taille : d'un rongeur de 47 grammes jusqu'à un éléphant de 4 tonnes. Les scientifiques ont extrapolé les mesures de ces animaux pour estimer la masse des dinosaures. Mais selon l'équipe du docteur Packard, une erreur mathématique s'est produite : ainsi, la masse du Styracosaurus doit être réduite de 21 % et le Diplodocus perd 27 % de sa masse passant ainsi de 5500 à 4000 kg.

  • Oiseaux et dinosaures : aucun lien ?

    oiseu001.jpgAprès avoir étudié comment les oiseaux bougent et respirent, une équipe de  scientifiques de l'université de l'Oregon (Etats-Unis) affirme que ces derniers ne descendent pas des dinosaures mais auraient évolué indépendamment.

    Depuis des décennies, on sait que le fémur chez l'oiseau est quasiment figé, empêchant ces animaux de courir facilement. Mais les chercheurs américains ont découvert que cet os maintient également leurs poumons, leur permettant de respirer en plein vol. Tous les autres animaux ayant marché sur Terre, y compris les humains, les éléphants, les lézards et les dinosaures théropodes (famille qui comprend les T-Rex) ont un fémur libre de tout mouvement.

    Cette découverte pourrait forcer les paléontologistes à reconsidérer leurs croyances selon lesquelles les oiseaux modernes sont des descendants directs d'anciens dinosaures carnivores. « C'est surprenant que nous n'ayons pas compris un élément basique de la biologie des oiseaux » déclare le chercheur américain John Ruben. Les caractéristiques telles que les plumes, les ailes et la façon unique qu'ont les oiseaux de se mouvoir se seraient donc développées séparément.

    Selon le professeur Ruben, les oiseaux et les dinosaures partageraient un ancêtre commun, Karamuru vorax, qui parcourait la Terre il y a 250 millions d'années.« Il paraît maintenant très clair que les oiseaux ont évolué de leur propre côté et ne descendent pas directement des dinosaures théropodes » conclut John Ruben.

    Source : Maxisciences

  • Certains dinosaures auraient vécu plus longtemps


    Source : Maxisciences

  • Patagonie : le squelette d'un dinosaure géant

    Le squelette d'un dinosaure carnivore géant, découvert dans la région argentine de Patagonie (sud) au coeur de rocs vieux de quelque 70 millions d'années, vient d'être présenté au Musée des sciences naturelles Bernardino Rivadavia à Buenos Aires.

    Le spécimen baptisé "Austroraptor cabazai", a été découvert à Bajo de Santa Rosa, dans le nord de la Patagonie, dans une zone où avaient déjà été découverts des ossements de spécimens de dinosaures herbivores. L'importance de cette découverte réside dans le fait qu'il s'agit d'un des plus grands prédateurs du monde préhistorique, apparenté au groupe des dromaeosauridés (dinosaures carnivores), qui vécut dans de nombreuses régions du monde au Crétacé, il y a 145 à 65 millions d'années.

    Agile et rapide, ce dinosaure était parmi les prédateurs les plus efficaces de son époque. Tous les dinosaures carnivores étaient bipèdes, à l'image du célèbre Velociraptor de Mongolie.

    Source : Yahoo.fr

  • Le règne des dinosaures, juste de la chance ?

    Le règne sans partage des dinosaures sur la Terre pendant plus de 160 millions d'années n'a pas été le fait d'une supériorité physiologique supposée mais surtout... de la chance, selon des travaux publiés aux Etats-Unis.

    fbb80f77d4b3c1ada6637b68e7a57721.jpg"Longtemps on pensait qu'il y avait quelque chose de spécial chez les dinosaures qui les aurait aidés à s'imposer durant leurs 30 premières millions d'années d'existence mais cela est faux", affirme Steve Brusatte, un chercheur de l'Université Columbia à New York, coauteur de cette étude.

    "Si nous avions été des observateurs durant cette période de leur histoire à l'ère du trias, nous n'aurions sans doute pas parié sur les dinosaures pour être l'espèce dominante pendant les 130 millions prochaines années mais sur les crurotarsiens, leurs concurrents, dont les seuls descendants sont les crocodiliens", ajoute-t-il.

    A la fin du trias, les crurotarsiens et les dinosaures se ressemblaient beaucoup et étaient probablement en concurrence pour consommer les mêmes ressources. Ces chercheurs (...) ont étudié les caractéristiques de l'évolution des dinosaures et des crurotarsiens durant ces 30 premières millions d'années en analysant près de 500 caractéristiques de squelette de 64 espèces ainsi que les rythmes d'évolution et les disparités morphologiques.

    85ed5c6f02047b2f4ac8420926e2f508.jpgIls n'ont trouvé aucune différence dans ces mesures entre dinosaures et crurotarsiens, à la surprise des paléontologues.
    Si les dinosaures avaient été "supérieurs" durant cette première période de leur histoire, ils auraient probablement connu une évolution plus rapide que celle des crurotarsiens, soulignent-ils. En termes de disparité morphologique, les crurotarsiens étaient même supérieurs, avec une plus grande diversité de taille, de types de corps, de régimes alimentaires et de modes de vie (aquatique et terrestre). (...)

    Si les dinosaures et les crurotarsiens ont survécu à la première extinction de masse il y a 251 millions d'années, apparemment provoquée par l'impact d'une météorite, les crurotarsiens n'ont pas résisté à un second cataclysme destructeur 51 millions d'années plus tard. Un réchauffement important du climat dû probablement aux retombées de la chute d'une météorite a provoqué étrangement une extinction soudaine des crurotarsiens, épargnant les dinosaures devenus ensuite les maîtres de la Terre jusqu'à leur disparition, il y a 65 millions d'années quand une autre météorite a bouleversé le climat.

    "On n'a pas de réponse (scientifique) à la question de savoir pourquoi les crurotarsiens ont disparu et pas les dinosaures", poursuit le paléontologue Michael Benton de l'université de Bristol (Grande-Bretagne), coauteur de cette recherche. "Nous suspectons que ce n'est rien d'autre que de la pure chance", dit-il. (...)

    Source : AFP, Washington (Jean-Louis Santini)
     

  • Encore un dinosaure géant inconnu

    Des paléontologues argentins et brésiliens ont annoncé la découverte d'un dinosaure géant, premier représentant d'une branche inconnue de la famille des titanosaures qui vivait en Patagonie argentine, il y a 88 millions d'années.

    ca7bd2855d1c33d0c9acf8559e8eac92.jpg«C'est le troisième plus grand fossile de dinosaures jamais découvert dans le monde et le plus complet d'entre eux, puisque nous avons retrouvé 70% du squelette», a affirmé le paléontologue argentin Jorge Calvo, directeur du Centre paléontologique de l'Université nationale de Comahue (Argentine) lors d'une conférence de presse à l'Académie des Sciences de Rio.

    Ce dinosaure est un herbivore, de 32 à 34 m de long, pesant quelque 8 tonnes, représentant de cette branche jusque-là inconnue de titanosaures, baptisée Lognkosauria. Lui-même a été baptisé Futalognkosaurus dukei, un nom dérivé de la langue des Indiens Mapuche signifiant «chef géant des sauriens». Le nom «dukei» est un hommage à l'entreprise privée Duke Energy Argentina ayant financé la plus grande partie des fouilles sur les berges du lac artificiel «Lago Barreales», au nord de la Patagonie argentine.

    Les paléontologues argentins et brésiliens ont aussi présenté à Rio une réplique de la première vertèbre cervicale - de 1m 10 de haut et qui devait peser de 200 à 300 kg- découverte en février 2000, au début des fouilles. (…)

    Source : AFP, Rio de Janeiro.

     

  • Une nouvelle espèce de dinosaure

    Une nouvelle espèce de dinosaure herbivore et doté de cornes d'un mètre de long a été découverte en Alberta (Canada) et identifiée par des chercheurs de l'Ohio, selon les résultats de travaux publiés dans l'édition du "Journal of Paleontology" du mois de mars.

    Les cornes de ce dinosaure, aussi larges qu'un bras humain, sont semblables à celle du tricératops, qui a vécu 10 millions d'année plus tard, mais l'animal appartient à une sous-famille qui avait habituellement de petites cornes de quelques centimètres. Michael Ryan, conservateur pour la paléonthologie des vertébrés au Museum d'histoire naturelle de Cleveland (Ohio), a découvert les restes de l'animal il y a six ans dans le sud de l'Alberta, alors qu'il étudiait à l'Université de Calgary.

    La découverte est importante parce qu'il s'agit non seulement d'une nouvelle espèce, mais aussi d'un nouveau genre d'animal, la catégorie au-dessus au niveau de la classification. M. Ryan a indiqué que l'Albertaceratops nesmoi avait la taille d'un gros boeuf.

    Source : AP, Cleveland.

  • Découverte d'un dinosaure inconnu

    Un dinosaure géant totalement inconnu et, surtout, le premier représentant d'un groupe jusqu'ici insoupçonné, a été mis au jour en Espagne.

    Selon les chercheurs, le sauropode baptisé Turiasaurus riodevensis, dinosaure herbivore, devait peser entre 36 et 43 tonnes et vivait dans la région de Teruel, dans ce qui constitue aujourd'hui l'Espagne, à l'époque de la fin du jurassique, il y a 150 millions d'années. A noter que le célèbre Tyrannosaurus Rex ne dépassait guère les huit tonnes.

    "L'humérus, long os de la patte avant qui va de l'épaule au coude, était aussi grand qu'un (humain) adulte", a précisé dans un communiqué Brooks Hanson, rédacteur adjoint de "Science". La griffe du premier doigt de son pied a la taille d'un ballon de rugby.

    Pour l'un des grands spécialistes français des dinosaures, Eric Buffetaut, du CNRS, l'importance de ce fossile tient moins à sa taille qu'au fait qu'il révèle l'existence d'un groupe de sauropodes jusqu'ici insoupçonné.