Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

poisson - Page 2

  • Un saumon atlantique pêché dans la Seine !

    Saumon atlantique.jpgUn saumon atlantique de 7 kg a été pêché il y a quelques jours dans la Seine, aux portes de Paris, ce qui constitue une première depuis 70 ans, selon la Fédération nationale de la pêche en France. Le poisson, qui mesure 97 cm, a été pêché le 3 octobre au barrage de Suresnes, en banlieue parisienne.

    Selon la Fédération, les saumons remontant le fleuve étaient recensés jusque dans les années 20 mais ont disparu depuis en raison de la pollution de l'eau mais aussi de la présence de nombreux barrages, qui sont autant d'obstacles. Cela démontrerait que la qualité de l'eau s'est améliorée. De là à dire que l'eau de la Seine est propre...

    Fin juillet 2008, une truite de mer de 2,5 kg avait été pêchée dans la Seine, toujours au niveau du barrage de Suresnes. Selon le Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (SIAAP), il y a désormais 32 espèces de poissons recensées dans la Seine, contre 3 en 1970.

    Source : AFP, Paris.

    Photo : l'heureux pêcheur, Fabrice Metzger, avec sa prise, près du barrage de Suresnes le 3 octobre 2008 (photo AFP).

  • Des poissons-chats traversent une rue !

    de9d99c443ff1e0cbcb552a259940ea9.jpgSuite à de violents orages à Pinellas Park (Floride), un banc d’une trentaine de poissons chats a été aperçu traversant une rue.

    Sortis des égouts, les animaux se sont déplacés à l’air libre grâce à leurs nageoires pectorales. Leur présence dans le réseau d’évacuation d’eaux de pluie serait due à la survenue de violents orages dans la région.

    Selon un scientifique de la Florida Fish and Wildlife Conservation Commission, il n'est pas rare que les poissons-chats se déplacent à l’air libre, parfois sur de longues distances, s’ils peuvent rester humides.

    Une vidéo est également visible en cliquant ici

  • Vidéo : un poisson a volé durant 45 secondes

    Une vidéo étonnante filmée depuis un ferry dans la mer du Japon, montrant un poisson volant évoluant dans l'air durant une quarantaine de secondes... Un record en la matière, semble-t-il.

  • Connaissez-vous l'arowana ?

    L'arowana est un poisson rouge de 40 cm de long, connu sous le nom scientifique de Scleropages formosus (scléropage d'Asie). Il s'agit d'un poisson d'eau douce quasiment éteint à l'état sauvage qui ne se trouve plus que dans certaines rivières de Bornéo. Son élevage strictement réglementé se borne à l'Indonésie, la Malaisie et Singapour.

    c27f1ddad754aa456744fb8cf8f2cd60.jpgLe "poisson-dragon" rouge est devenu l'objet des spéculations les plus extravagantes, certains spécimens dépassant les 36 000 €. Le 2 mars 2008 s'est conclue à Jakarta une foire-concours consacrée aux arowanas, surtout les rouges, les plus prisés. Un poisson a été acheté 180 millions de roupies (13 100 €), un autre 200 millions (14 500 €).

    Pour beaucoup de Chinois, posséder un arowana est l'assurance de bénéficier des pouvoirs mythiques du dragon : santé, chance, foyer soudé, affaires florissantes. D'autres souhaitent exposer dans leur salon ce symbole de luxe, à l'instar d'une toile de maître. La fièvre a stimulé la création de fermes piscicoles spécialisées, parfois cotées en bourse et gérées par des millionnaires.

    L'arowana suscite logiquement "une très forte contrebande", selon Chris Shepherd, de l'ONG de défense de la vie animale Traffic. "Les marges sont très élevées, il y a beaucoup de prises illégales", explique-t-il. "Les populations déclinent rapidement et je ne vois aucun signe de ralentissement du commerce".

    Les critères de qualité suprême d'un arowana sont subtils. Ses yeux doivent être orientés vers le haut, puisque le prédateur est censé être à l'affut d'un insecte. Ses deux barbillons doivent être parallèles, ses nageoires bien déployées. Quelques bêtes exceptionnelles présentent sur le dessus une large rangée d'écailles bien alignées. Le poisson est alors déclaré "I Thiaw Long". Son prix est alors multiplié par deux.

    Source : Sébastien Blanc (AFP, Jakarta).

  • Une visite HD en aquarium

    Voici une très belle vidéo prise à l'aquarium de Long Beach : vous pouvez la visualiser en haute définition (HD) en cliquant ici.

  • Un requin très rare repéré au Japon

    Mercredi 24 janvier 2007

     

    L'équipe d'un parc aquatique japonais a pu filmer cette semaine un spécimen de requin rarement vu vivant, son habitat naturel se situant à une profondeur comprise entre 600 et 1000 mètres. Un pêcheur a alerté le parc Awashima de Shizuoka, au sud de Tokyo, après avoir observé un drôle d'animal aquatique ressemblant à une anguille avec une gueule pleine de dents acérées.

    Le personnel du parc a pu capturer la créature, qui mesure 1,6 mètre, et l'a identifiée comme étant une femelle de requin lézard, souvent qualifié de "fossile vivant" étant donné le peu d'évolution de l'espèce depuis la Préhistoire. Le requin est mort quelques heures après sa capture.

    Source : Reuters, Tokyo.

  • Le tyrannosaure des océans

    medium_poisson_prehistorique.jpgUn poisson qui régnait sur les océans il y a 400 millions d'années était capable de déchiqueter ses victimes avec la force d'un tyrannosaure, ont découvert des scientifiques américains, après avoir reconstitué la musculature de la mâchoire de ce redoutable prédateur.

    Dunkleosteus terrelli, un poisson de la taille d'un petit autobus, mesurait jusqu'à 11 mètres de long et pouvait peser jusqu'à 4 tonnes, selon cette étude publiée dans les Biology Letters de la Société royale britannique.

    Les scientifiques connaissaient depuis longtemps ce prédateur par ses restes fossiles, mais sans soupçonner la force et la puissance de sa morsure. Les mâchoires de ce poisson à plaques cuirassées étaient capables d'exercer une pression de 5 tonnes. L'effet en était encore accentué par une dentition acérée, pouvant exercer une force de 5.500 kg/cm2.

    De surcroît, Dunkleosteus terrelli était capable d'ouvrir et de refermer sa gueule en un éclair (un cinquantième de seconde). Habituellement, soulignent les auteurs de l'étude, un poisson a soit une morsure puissante, soit une morsure rapide, mais possède rarement les deux caractéristiques en même temps. La force des mâchoires de l'ancien prédateur est à peu près deux fois celle de l'actuel requin blanc à la sinistre réputation.

    "Cette puissance de morsure est la plus élevée de tous les poissons vivants ou éteints et figure parmi les plus élevées" au sein du règne animal, soulignent les auteurs de l'étude, Philip Anderson (Université de Chicago) et Mark Westneat (Musée Field d'histoire naturelle de Chicago).

    Pour rivaliser avec Dunkleosteus terrelli, on ne trouve que certains anciens dinosaures, en particulier le Tyrannosaurus rex, et les alligators.

    Source : AFP, Paris. Image : Karen Carr (AFP/AFP/HO)

  • La disparition des poissons : mythe ou réalité ?

    Vendredi 3 novembre 2006

    La situation actuelle en matière de conservation des espèces de poisson et crustacés dans le monde "n'est pas acceptable" mais le scénario-catastrophe de la revue américaine Science prévoyant leur disparition avant 2050 est "improbable" a estimé la FAO.

    medium_poissons.jpg"D'un point de vue scientifique, cette étude demande encore à être examinée et validée par les scientifiques", a déclaré à l'AFP Serge Garcia, le Directeur de la division halieutique (ressource de pêche,ndlr) de l'Organisation mondiale pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO).

    L'extrapolation sur 40 ans par les auteurs de l'article des chiffres actuels de baisse des réserves "est statistiquement dangereuse", selon le responsable. "Elle implique une conduite irresponsable de toutes les industries et des gouvernements pendant quatre décennies et il faudrait un incroyable niveau d'apathie de tous les citoyens du monde pour que cela survienne", a-t-il estimé.

    "La FAO a sonné l'alarme depuis la moitié des années 80 et estime que la situation actuelle des ressources en poissons montre des signes contradictoires de progrès (dans un petit nombre de pays développés) ou de stagnation (dans les autres pays développés). Le problème le plus grave se trouve dans les pays en voie de développement où les gouvernements n'ont pas les moyens d'appliquer les politiques de conservation nécessaire", a-t-il ajouté.

    L'expert de la FAO note parmi les signes positifs de la prise de conscience du problème de la sur-pêche l'adoption, en 2001, par les membres de la FAO d'un "Code de conduite pour une pêche responsable" ainsi que la mise en oeuvre d'un accord, également de 2001, pour "une pêche respectueuse de l'écosystème".
    Les restrictions à la pêche, les allocations de quotas, la reconnaissance par un label des conduites responsables font des progrès et le nombre des espèces dont les stocks se régénèrent s'accroit, a indiqué ce spécialiste.(...)

    La FAO a chiffré la demande de poissons dans le monde à 180 millions de tonnes en 2030. En admettant que la pêche continue jusqu'à cette date à son niveau actuel soit environ 90 millions de tonnes par an, "il sera nécessaire de doubler la production actuelle de l'aquaculture (produits d'élevage pour 45 millions de tonnes) avec des effets significatifs négatifs sur l'environnement et une pénurie potentielle de la nourriture à base de poisson nécessaire aux besoins mêmes de cette aquaculture", a indiqué M. Garcia.
    Actuellement 35 millions de tonnes de poissons sont transformées chaque année en farine de poisson.
    Prés d'un poisson sur deux (43%) consommé dans le monde en 2005 provenait de l'aquaculture contre (9%) en 1980.

    Source : AFP, Rome.

  • Un poisson fossile témoin de la sortie des eaux

    Jeudi 19 octobre 2006

    Les restes particulièrement bien préservés d'un poisson fossile à la fois primitif et "moderne", vieux de quelque 380 millions d'années et qui apporte une lumière nouvelle sur l'apparition des animaux tétrapodes, a été découvert en Australie, annonce la revue Nature.

    medium_Poisson_fossile.jpgCe poisson, "Gogonassus andrewsae", remontant à l'ère dévonienne - celle de la grande émergence des terres - a été mis au jour l'an dernier dans les couches calcaires de la formation géologique de Gogo, en Australie occidentale, par une équipe de chercheurs dirigée par John Long, travaillant pour le Musée Victoria de Melbourne, l'Université Monash de Victoria et l'Université nationale d'Australie de Canberra.

    Grâce à la préservation exceptionnelle du squelette qui comprend notamment le crâne et les membres quasi intacts, les scientifiques australiens ont pu relever que l'anatomie des oreilles et des membres des tétrapodes sont à chercher dans notre très lointain passé aquatique. Gogonassus était un poisson à bien des égards, tout en présentant des aspects anatomiques étonnamment proches des tétrapodes, relèvent les scientifiques australiens.

    Les tétrapodes ("quatre pieds") se sont développés au Dévonien à partir de poissons à nageoires charnues. Le terme tétrapode n’est pas synonyme de quadrupède : il porte sur toutes les créatures munies de quatre membres (qu’ils se soient transformés en ailes ou en nageoires ou encore en bras et en jambes), qui sont les témoins de leur origine commune. (...)

    Source : AFP, Paris.

     

  • Pluie de poissons

    Lundi 24 juillet 2006

    Les habitants d'un petit village du sud de l'Inde n'en ont pas cru leurs yeux lorsqu'ils ont vu tomber une pluie de poissons, ont rapporté des témoins.

    Les habitants de Manna, village reculé de l'Etat du Kerala, ont vu les poissons littéralement tomber du ciel pendant une quinzaine de minutes.

    "J'ai vu les poissons tomber du ciel. D'abord je n'en ai pas cru mes yeux", a raconté un épicier, V.K. Satheeshan.

    "Quand j'ai accouru sur les lieux, j'ai vu plein de petits poissons sur la route. Certains épiciers les ramassaient pour les mettre dans des jarres", a dit un journaliste local, Rajeevan.

    Très vraisemblablement, cette pluie insolite est due à une mini-tornade ayant entraîné l'extraction des poissons de leur milieu naturel, selon le professeur Godfrey Louis, de l'université Mahatma Gandhi, à Kottayam (Kerala).

    Source : AFP

  • Requiem pour un mérou

    Bubba, "le super mérou" de 69 kilos, locataire du Shedd Aquarium de Chicago, est mort à l'âge de 24 ans, selon les membres de l'Aquarium. Devenu célèbre et une source de motivation pour les personnes atteintes d'un cancer, il fut le premier poisson à subir une chimiothérapie et vaincre la maladie.

    medium_Bubba_fish.jpgBubba avait été abandonné à la réception de l'aquarium de Chicago en 1987, posé dans un seau sur un bureau. Le petit poisson a été adopté, puis son cancer diagnostiqué en 2001. Deux ans plus tard et contre toute attente, l'aquarium tentait une expérience sans précédent, en administrant un traitement chimiothérapique à son mérou fétiche. Un succès total.

    Certains patients remis d'un cancer, notamment les enfants, disent avoir puisé courage et inspiration dans la résistance de Bubba.

    "De temps en temps, depuis ces trois dernières années, des enfants atteints d'un cancer nous téléphonaient, ou bien leurs parents, pour demander des nouvelles de Bubba," raconte George Parsons, directeur du département des poissons de l'Aquarium. "Cela va être difficile à présent, de leur annoncer qu'il n'est plus parmi nous."

    Une première autopsie du célèbre mérou démontre que Bubba avait des problèmes de santé liés à son âge et souffrait de nombreuses excroissances anormales.

    Source : AP, Chicago.