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meteo - Page 5

  • La foudre globulaire, ça vous parle ?

    Il s'agit d'un phénomène météorologique plutôt rare qui se traduit, lors ou après un orage, par des sphères lumineuses se déplaçant dans l'air en général brièvement, mais parfois durant quelques minutes. 

    Cette vidéo vous donne un aperçu du phénomène.

     
  • Orage de grêle exceptionnel à Bogota

    Les habitants de Bogota ont été victimes d'un orage de grêle exceptionnel le 5 novembre 2007. Cette violente pluie de grêle, qui a formé en à peine une heure une couche de glace de près de deux mètres, est la plus forte jamais constatée en Colombie depuis trente ans, a indiqué l'Institut d'études météorologiques (Ideam).

    bd37f11f56d4f5bb2d331d4f966ac7ff.jpgAu plus fort des intempéries, il a plu entre 60 et 70 mm par heure, soit trois fois plus la moyenne, a relevé Humberto Gonzalez, responsable des prévisions à l'Ideam. Les spécialistes ont attribué cet orage au phénomène baptisée "Niña" (petite fille, en espagnol), caractérisé par le refroidissement des eaux de l'océan Pacifique et qui pourrait durer jusqu'au début de l'année 2008.

    La directrice des Services colombiens de prévention et d'urgences, Diana Rubiano, a toutefois observé qu'il s'agissait d'un "phénomène peu commun en milieu urbain". Les autorités ont affirmé que la grêle n'avait fait aucune victime, ni détruit totalement de maisons. En revanche, une quarantaine de personnes ont souffert d'hypothermie, 70 véhicules ont été endommagés et quelque 300 familles ont dû être hébergées.(...)

    L'Organisation météorologique mondiale (OMM) a estimé que ce phénomène "Niña" se prolongerait durant trois à six mois, avec pour conséquence une sécheresse en Australie et des pluies le long de la côte Pacifique en Amérique latine.

    Source : AFP, Bogota.

  • Il a neigé à Buenos Aires

    Faut-il y voir un nouveau signe du dérèglement climatique? Il a neigé lundi à Buenos Aires, un phénomène qui, selon les météorologues, n'avait pas été observé dans la capitale argentine depuis 1918.

    Cette neige fondue est tombée pendant plusieurs heures, sans tenir au sol. Le phénomène, dû à la rencontre d'une masse d'air froid venu de l'Antarctique avec un système d'humidité de basse pression, a également blanchi les hauteurs de l'ouest et du centre de l'Argentine.

    Il s'agit des premières chutes de neige significatives à Buenos Aires depuis le 22 juin 1918, bien que des épisodes de pluies verglaçantes aient parfois été observés depuis, selon l'Agence météorologique argentine.

    Ces chutes de neige font suite à une vague de froid enregistrée en mai, la pire depuis 40 ans à Buenos Aires, qui a fait chuter les températures et conduit à des problèmes d'approvisionnement en énergie et à la mort de 23 personnes.

    Ces chutes de neige coïncidaient avec la fête nationale en Argentine, et plusieurs stations de radio ont fêter l'événement en jouant un morceau de tango inspiré par la neige de 1918 et intitulé "Quelle nuit!".

    "C'est le genre de phénomène climatique qui intervient tous les 100 ans", a déclaré le météorologue Hector Ciappesoni au quotidien "La Nacion". "C'est très difficile à prédire".

    Source : AP, Buenos Aires.

  • Impressionnante vidéo d'une tornade

    Deux chasseurs de tornade décrochent le gros lot le 4 mai 2007 dans l'Oklahoma... Réalisé sans trucage !

  • L'hiver trop chaud rend les animaux insomniaques

    L'hiver est si doux en Russie que les ours et les hérissons n'arrivent pas à hiberner tranquilles, et si gris que les humains, eux, n'arrivent pas à ouvrir l'oeil le matin. Le contraste est flagrant avec l'hiver dernier. Les Russes, qui ont pourtant le cuir solide, avaient alors dû supporter d'interminables semaines à moins 34 degrés Celsius. Tandis que cette année, il ne gèle pas, et c'est tout juste s'il tombe quelques flocons.

    Du coup, au zoo de Saint-Pétersbourg, deux des cinq ours se sont déjà réveillés de leur hibernation, des semaines avant l'heure... Et samedi, quoi qu'affirme le panneau indiquant "les ours sont dans leur tanière, ils hibernent", Varya était lui tout à fait vif, grognant et réclamant des friandises...

    Même galère pour des hérissons devenus insomniaques. Pendant ce temps, les humains, eux, se plaignent de cette couverture nuageuse qui semble ne jamais devoir se lever, obscurcissant encore le peu d'heures de jour dont ils disposent en cette saison, pas plus de sept.

    Source : AP, St-Petersbourg.
  • Le froid tue au Bengladesh

    Une vague de froid qui s'est abattue sur le nord du Bangladesh a causé la mort de 17 personnes dans les tous premiers jours de janvier alors que le brouillard perturbait les transports en commun dans cette région située au pied des contreforts de l'Himalaya, ont annoncé des responsables et les médias.

    Les températures sont tombées à neuf degrés Celsius, bien en dessous des moyennes de ce pays tropical, a précisé l'agence de presse United News of Bangladesh. "Nous avons eu des informations sur des morts liées au froid mais je ne peux pas vous préciser combien", a déclaré Muklershur Rahman, un responsable des secours de la région. Au moins huit personnes sont mortes dans le district de Panchagarh, à 340 kilomètres au nord de la capitale, Dacca. Neuf autres sont mortes dans les districts voisins (...).

    La plupart des habitants de la région vivent dans des huttes de boue et de chaume, et ne peuvent pas s'offrir de vêtements chauds pour se protéger d'un froid inhabituel. Les températures sont plus froides que d'habitude depuis le Nouvel an avec des vents froids qui traversent la région et un épais brouillard qui désorganise les transports, a précisé le département de météorologie.

    Source : AP, Dacca.

  • Il a neigé à la Réunion

    Mardi 10 octobre 2006

    Il a neigé mardi, au lever du jour, sur une zone du massif du volcan du Piton de la Fournaise à la Réunion, un phénomène qui a attiré sur place des centaines de curieux.

    medium_NeigeReunion.jpgSelon Météo-France, environ un centimètre de neige a recouvert un sommet du site du volcan, contre trois à cinq centimètres en 2003 où le phénomène avait été qualifié de rarissime.

    Annoncée depuis samedi par les prévisionnistes, la neige a attiré sur le volcan, à plus de 2 000 mètres d'altitude, des centaines de badauds, venus souvent en famille dès le lever du jour. Ils ont pu admirer sur place une zone d'environ 2 km2 parée d'un beau manteau blanc sous un ciel bleu azur pendant qu'une radio locale relayait en direct leurs commentaires.

    Selon le prévisionniste de Météo France, Jacques Ecormier, la neige a été provoquée par l'arrivée d'une masse d'air froid de l'Antarctique qui a fait baisser la température de deux à trois degrés, associée à des précipitations issues de nuages dont les sommets se situaient entre 3 000 et 4 000 mètres. Les premiers flocons ont commencé à tomber vers 4h du matin puis entre 7h et  8h. La neige devrait commencer à fondre avec le rechauffement de la fin de matinée, selon Météo France. 
    Des chutes de neige se produisent en moyenne tous les trois ans sur l'île.

    Source : AFP, Saint-Denis-de-la-Réunion

  • Terre : la plus chaude depuis 10 000 ans

    La température de la Terre n'a pas été aussi élevée depuis plusieurs milliers d'années, une situation qui a commencé à affecter la faune et la flore, selon un article publié dans la revue de l'Académie nationale des Sciences américaine.

    Selon une équipe de chercheurs menée par James Hansen, de l'Institut des études spatiales de la NASA, la Terre s'est réchauffée à hauteur de 0,2 degrés Celsius par décennie ces 30 dernières années, ce qui amène la température de la planète à son plus haut niveau de la période interglaciaire actuelle, qui a débuté il y a environ 12 000 ans.

    Les chercheurs relèvent d'autre part que le journal "Nature" a rapporté que 1 700 espèces de végétaux, d'animaux et d'insectes se sont déplacées vers les pôles à une vitesse d'environ 6,5 kilomètres par décennie durant la deuxième moitié du XXème siècle.

    "Ces preuves suggèrent que nous nous approchons de niveaux dangereux de pollution occasionnée par l'Homme", a déclaré M. Hansen dans un communiqué. Ce scientifique, qui avait averti du danger du réchauffement global il y des dizaines d'années, a estimé que les gaz à effet de serre sont aujourd'hui le facteur le plus important de ce réchauffement.

    L'étude qu'il présente avec son équipe affirme également que la température globale de la Terre est actuellement environ un degré Celsius inférieure à la température maximale que la planète ait vécue ce dernier million d'années.

    "Si le réchauffement global se poursuit de deux ou trois degrés Celsius, nous verrons probablement des changements qui feront de la Terre une planète différente de celle que nous connaissons. La dernière fois qu'il faisait aussi chaud était au milieu du Pliocène, il y a environ trois millions d'années, lorsque le niveau des océans était estimé à 25 mètres de plus qu'aujourd'hui", a déclaré M. Hansen.

    Source : AP, Washington

  • Météo extrême : toujours plus

    Mercredi 13 septembre 2006

    Les phénomènes climatiques extrêmes - canicules meurtrières ou pluies diluviennes - constatés en été au cours des dernières années en Europe continentale, pourraient devenir monnaie courante d'ici la fin du siècle, selon une nouvelle étude.

    medium_Tornade1.jpgLe climat chaud et sec des pays riverains de la Méditerranée pourrait ainsi remonter vers le nord de l'Europe, estiment les auteurs suisses de ces travaux publiés dans l'hebdomadaire scientifique britannique Nature.
    Cette évolution pourrait avoir "un effet positif mécanique" sur le centre et l'est de l'Europe et entraîner ces régions dans un cercle vicieux, avec une évaporation plus importante du sol et une augmentation de l'humidité dégagée par la végétation suite à la hausse des températures.

    Dans les régions humides, l'air chaud devrait ainsi contribuer à alimenter le cycle des précipitations, augmentant le risque d'inondations.
    Par contre, dans les régions affectées par un climat plus sec, l'humidité du sol et des plantes sera évacuée plus rapidement, limitant de plus en plus les possibilités de rafraîchissement de l'atmosphère, et accentuant les canicules.

    medium_Inondation.jpgCe processus sera d'autant plus complexe que la végétation sera elle-même modifiée par le réchauffement climatique, les forêts de feuillus laissant progressivement la place à des plantes adaptées à un climat chaud et sec, ce qui affectera les échanges d'air humide avec l'atmosphère. (...)

    Cette étude (...) montre en particulier que cette évolution sera caractérisée par des vagues de chaleur plus fréquentes et confirme également que les phénomènes climatiques - canicules ou déluges - seront très variables d'une année à l'autre. (...)

    Source : AFP, Paris.