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  • Vidéo : stop au réchauffement climatique

    S'il était encore besoin de sensibiliser sur le réchauffement climatique, je vous propose de visionner la petite vidéo réalisée par l'agence Seagulls Fly pour l'association portugaise Quercus. Ce n'est pas gai, mais nécessaire.

    Le texte de fin est le suivant : "Si vous laissez tomber, ils laissent tomber. Stoppez le réchauffement climatique"

  • Les glaciers alpins ont fondu des deux tiers

    Les glaciers des Alpes européennes ont perdu près des deux tiers de leur volume initial et ce phénomène va en s'accélérant, indique le rapport annuel du PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement) présenté à Monaco. Les glaciers des Alpes ont perdu environ la moitié de leur volume total entre 1850 et 1975 puis 25% supplémentaire du volume restant entre 1975 et 2000 et encore 10 à 15% de ce qu'il en restait entre 2000 et 2005.

    8dfb717e32922d27e258a001b82351a2.pngLe rapport annuel du PNUE fait état d'une menace multiforme et grandissante à l'environnement : réduction de la bio-diversité, accélération de la hausse du niveau des mers, acidification des océans, augmentation des ouragans notamment.

    Le réchauffement climatique a également eu une incidence sur la fonte du plateau de Qinghai au Tibet, qui contient 5,94 millions d'hectares de glaciers et 5.590 km3 de glace. (...) La différence de rythme dans les fontes des glaces entre les Alpes européennes et le Tibet (serait) due à la différence d'altitude entre glaciers tibétains et européens ainsi qu'au volume supérieur des glaciers tibétains.

    Source : AFP, Monaco.

    Légende photo : vues de La Mer de Glace, dans les années 1940 et le 19 juillet 2003 à Chamonix, montrant un recul de 2 km du glacier. Crédit : Jean-Pierre Clatot/AFP

  • Les extra-terrestres pour améliorer le climat !

    Un ancien ministre canadien appelle les gouvernements mondiaux à révéler ce qu'ils savent sur les extra-terrestres pour enrayer les changements climatiques. Paul Hellyer est persuadé que la technologie extra-terrestre permettrait d'éliminer les combustibles fossiles en une génération.

    medium_Vaisseau.jpgIl faut persuader les gouvernements de dire ce qu'ils savent. Certains d'entre nous pensent qu'ils en savent beaucoup, et cela pourrait suffire à sauver notre planète."

    Paul Hellyer, 83 ans, ancien ministre canadien de la Défense, veut parler des... extra-terrestres. Il a en effet appelé, dans un entretien au quotidien Ottawa Citizen, les gouvernements mondiaux à révéler ce qu'ils savent sur la technologie des extra-terrestres afin d'enrayer les changements climatiques.

    Paul Hellyer demande que soit rendue publique la technologie extra-terrestre obtenue selon lui lors de l'écrasement sur terre d'OVNI, comme dans le cas de l'affaire de Roswell en 1947. Cette bourgade du Nouveau-Mexique est célèbre dans la mythologie extra-terrestre comme le lieu présumé de l'écrasement d'un engin spatial non-identifié.

    L'ancien ministre est persuadé que la technologie extra-terrestre permettrait d'éliminer les combustibles fossiles en une génération. Ministre de la Défense dans le gouvernement de Lester Pearson dans les années 1960, Il avait surpris ses compatriotes en affirmant en 2005 lors d'une conférence que les "OVNI sont aussi réels que les avions".

    Source : TF1.fr

     
  • Deux icebergs au large de la Nouvelle-Zélande

    Deux icebergs de l'Antarctique dérivent au large des côtes néo-zélandaises, à une proximité record depuis trois quarts de siècle. Les icebergs se situaient mercredi à environ 100 km au large d'Otago, dans le sud-est du pays, soit la plus proche distance jamais observée depuis 75 ans, a indiqué l'Institut national de la recherche sur l'eau et l'atmosphère (NIWA).

    Des hélicoptères ont emmené des scientifiques et des touristes observer les énormes masses de glace. L'un des deux icebergs mesure environ 500 mètres de long, sur 50 mètres de large et 60 mètres de haut, tandis que l'autre s'élève en un sommet d'une centaine de mètres et s'étend sur 300 mètres. Les icebergs ne devraient pas dériver plus près des côtes, selon les experts.
    "D'après ce que nous voyons, ils fondent plutôt rapidement", a déclaré jeudi à Radio Nouvelle-Zélande, Craig Purdie, de l'université d'Otago.
    Il a également indiqué que les icebergs dérivaient plus à l'est s'éloignant des côtes, même si des vents changeant pourraient modifier leur trajectoire (...)

    Source : AFP, Wellington.

  • Terre : la plus chaude depuis 10 000 ans

    La température de la Terre n'a pas été aussi élevée depuis plusieurs milliers d'années, une situation qui a commencé à affecter la faune et la flore, selon un article publié dans la revue de l'Académie nationale des Sciences américaine.

    Selon une équipe de chercheurs menée par James Hansen, de l'Institut des études spatiales de la NASA, la Terre s'est réchauffée à hauteur de 0,2 degrés Celsius par décennie ces 30 dernières années, ce qui amène la température de la planète à son plus haut niveau de la période interglaciaire actuelle, qui a débuté il y a environ 12 000 ans.

    Les chercheurs relèvent d'autre part que le journal "Nature" a rapporté que 1 700 espèces de végétaux, d'animaux et d'insectes se sont déplacées vers les pôles à une vitesse d'environ 6,5 kilomètres par décennie durant la deuxième moitié du XXème siècle.

    "Ces preuves suggèrent que nous nous approchons de niveaux dangereux de pollution occasionnée par l'Homme", a déclaré M. Hansen dans un communiqué. Ce scientifique, qui avait averti du danger du réchauffement global il y des dizaines d'années, a estimé que les gaz à effet de serre sont aujourd'hui le facteur le plus important de ce réchauffement.

    L'étude qu'il présente avec son équipe affirme également que la température globale de la Terre est actuellement environ un degré Celsius inférieure à la température maximale que la planète ait vécue ce dernier million d'années.

    "Si le réchauffement global se poursuit de deux ou trois degrés Celsius, nous verrons probablement des changements qui feront de la Terre une planète différente de celle que nous connaissons. La dernière fois qu'il faisait aussi chaud était au milieu du Pliocène, il y a environ trois millions d'années, lorsque le niveau des océans était estimé à 25 mètres de plus qu'aujourd'hui", a déclaré M. Hansen.

    Source : AP, Washington

  • Les glaciers de l'Alaska fondent trop vite

    Lundi 25 septembre 2006

    medium_glacier.jpgLa plupart des glaciers du sud-est de l'Alaska fondent deux fois plus vite qu'on ne le pensait auparavant, affirme une nouvelle étude américaine. Le glaciologue Roman Motyka de l'université Alaska Fairbanks, son collègue Chris Larsen et trois autres scientifiques ont comparé des données radar collectées depuis l'espace en 2000 avec des photos aériennes prises entre 1948 et 1979.

    Ils ont établi que 95% des glaciers du sud-est de l'Alaska fondaient et que certains ont perdu jusqu'à 650 mètres de hauteur depuis 1948. Grâce aux nouvelles données plus précises, ils ont calculé que la vitesse de la fonte de ces glaciers avait été grandement sous-estimée lors d'une précédente étude réalisée en 2002.

    Selon eux, les glaciers de la région perdent en moyenne 14,6 kilomètres cubes de glace chaque année sous l'effet combiné du réchauffement climatique et de la dynamique des glaciers. Mais ils estiment que ce chiffre pourrait être encore sous-évalué.(...)

    Les scientifiques ont également relevé des anomalies. Ainsi 5% des glaciers étudiés sont en expansion et s'épaississent. Ces glaciers s'étalent souvent à une altitude plus élevée. En outre, la dynamique des glaciers produit un effet opposé dans ces exceptions, créant un autre type de déséquilibre favorisant leur progression.

    Source : AP, Juneau (Alaska)

  • La calotte glaciaire se fracture

    Mercredi 20 septembre 2006

    Des images satellitaires ont révélé d'immenses fractures dans la calotte glaciaire arctique à la fin de l'été, s'étendant de l'Europe septentrionale jusqu'au pôle Nord sur une superficie plus vaste que la Grande-Bretagne, a indiqué l'Agence spatiale européenne (Esa).

    "Cette situation est différente de tout ce que l'on a pu observer lors des précédentes saisons de fonte record des glaces", souligne le responsable de l'analyse des images, Mark Drinkwater, sur le site web de l'Esa. "Un bateau aurait pu remonter sans difficulté jusqu'au pôle Nord depuis l'archipel de Spitzberg (Norvège) ou le nord de la Sibérie, au travers de ce qui est normalement constitué de glace solide".

    Les spectaculaires images satellitaires, acquises du 23 au 25 août, montrent une large zone fracturée dans la calotte glaciaire, rejoignant le pôle Nord depuis l'archipel de Svalbard (ou Spitzberg), à l'extrême nord de la Norvège, et celui de Severnaya Zemlya, dans les eaux arctiques sibériennes.

    Les scientifiques estiment que de 5 à 10% de la glace pérenne - celle qui ne fond normalement jamais - s'est fracturée lors des tempêtes de fin d'été, ce qui implique une glace plus fragile et moins épaisse, précise l'Esa.
    "Si cette tendance se poursuit, la route maritime du nord entre l'Europe et l'Asie sera ouverte pendant des intervalles plus longs et on peut imaginer d'ici 10 à 20 ans des tentatives de tour du monde en voilier par l'Océan arctique en été", selon M. Drinkwater.

    La calotte glaciaire arctique se réduit comme peau de chagrin à cause du réchauffement climatique. A la fin de l'été 2005, elle ne s'étendait que sur 5,5 millions de km2, contre 8 millions de km2 au début des années 1980.
    La glace pérenne diminue elle aussi, mais c'est la première fois que ce secteur de l'Océan arctique démontre une telle fragilité, souligne l'Esa, qui publie les images sur sur son site.

    Source : AFP, Paris.