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pépite

  • La pépite d'or géante reste à Angers

    Rappelez-vous, voici quelques mois, un promeneur retraité angevin trouvait, dans un endroit tenu secret déjà, ce qui est la plus grosse pépite d'or naturelle (57,5 g) jamais ramassée en France depuis le XIXème siècle.
     
    Finalement, cette trouvaille restera dans la région puisque la municipalité d'Angers s'est portée acquéreuse de la pépite pour 15 000 euros. Elle sera exposée au Museum des Sciences naturelles. "Cette pépite constitue une pièce majeure, patrimoniale et historique pour la ville d'Angers et son Museum des Sciences naturelles, peu doté en pièces minéralogiques de prestige à présenter au public", justifie la délibération adoptée.

    D'un diamètre de 3 cm pour 1,8 cm d'épaisseur, cette pépite "native" (naturelle) et de type "filonienne" (issue d'une pierre, voire d'un filon, par opposition aux pépites alluvionnaires), avait été montrée pour la première fois en novembre 2007 lors d'une exposition minéralogique à Angers.

    Source : Nouvelobs.com

  • La plus grosse pépite d'or depuis 120 ans

    C'est en se promenant avec son chien dans un chemin de terre qu'un retraité a découvert en Anjou la plus grosse pépite d'or jamais découverte en France métropolitaine depuis le XIXe siècle. D'un diamètre de 3 cm pour une épaisseur de 1,8 cm, la pépite pèse 57,5 grammes. 

    Le lieu de sa découverte est jalousement tenu secret, au cas où il recèlerait encore de tels trésors. L'or est une vieille histoire dans le Maine-et-Loire, où une mine a été exploitée pendant plusieurs siècles à Saint-Pierre-Montlimart avant d'être fermée il y a une cinquantaine d'années. En dépit de sa proximité avec le fleuve, les analyses scientifiques ont démontré que la pépite "native" - c'est à dire naturelle et non pas résultat d'un travail humain - n'était pas "alluvionnaire" mais de type "filonienne" (provenant d'une pierre, voire d'un filon).

    Cette pièce de musée par excellence ne restera vraisemblablement pas en France. A la suite des analyses scientifiques, effectuées à l'Institut des matériaux de Nantes, rattaché au CNRS, le découvreur, après moult hésitations, a décidé de la vendre. Les trois personnes l'ayant récemment acquise ont à leur tour eu plusieurs propositions d'achat. Des musées français sont sur les rangs, mais la pépite risque de partir à l'étranger. Comme la précédente grosse pépite, d'un poids dix fois supérieur (553 grammes), découverte en Ardèche en 1889 et partie depuis aux Etats-Unis.

    Source : Clarisse Lucas (AFP, Angers).

    Ajout du 6/04/2008 : la pépite restera finalement en Anjou, lire ici.